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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT EN ISRAËL

We welcome your comments to this and any other CIJR publication. Please address your response to:  Rob Coles, Publications Chairman, Canadian Institute for Jewish Research, PO Box 175, Station  H, Montreal QC H3G 2K7 – Tel: (514) 486-5544 – Fax:(514) 486-8284; E-mail: rob@isranet.wpsitie.com

 

BENJAMIN NETANYAHOU FORME IN EXTREMIS SON NOUVEAU GOUVERNEMENT

Jean-Patrick Grumberg

http://www.dreuz.info, 7 mai 2015

           

Netanyahou avait jusqu’à mercredi 6 mai minuit pour former son nouveau gouvernement. Devant les difficultés conséquentes au mode de scrutin qui donne un poids artificiellement élevé aux petits partis dans la vie politique israélienne, Netanyahou avait obtenu du président israélien Rivlin une extension de 8 jours.

 

S’il ne parvenait pas à former un gouvernement dans les délais, Rivlin devait charger un autre député de former un gouvernement, ou provoquer de nouvelles élections, qui auraient sans doute sanctionné le premier ministre sortant.

 

Cette situation a été largement provoquée par les médias et les instituts de sondage, qui jusqu’au dernier moment ont trompé les électeurs, et entravé le jeu démocratique par la diffusion de sondages mensongers qui donnaient la gauche largement gagnante. Influencer le vote avec des informations inexactes devrait à terme déclencher une réflexion de fond sur les combines de la gauche israélienne.

 

  • Le Foyer juif de Naftali Bennett obtient les ministères de la Justice, de l’Éducation et de l’Agriculture, et un vice-ministère de la Défense.

 

Naftali Bennett, siégera au cabinet de sécurité. Rapellons qu’il milite pour l’annexion de la zone C de Judée Samarie, qui dans les accords entre Arabes palestiniens et Israéliens doivent de toutes façons revenir à Israël. Bennett souhaite également l’adoption d’une loi consacrant de façon plus formelle encore le caractère juif de l’État d’Israël.

 

La jeune députée Ayelet Shaked, du foyer Juif, obtient la justice. Ce choix est d’une grande importance pour les défenseurs de la démocratie. Shaked milite sur deux terrains qui empoisonnent la vie israélienne :

 

  • La limitation des pouvoirs exorbitants de la Cour suprême, qui dispose des outils pour pratiquer le militantisme judiciaire, et rejeter les lois démocratiquement votées par la Knesset qui lui déplaisent, alors que ses membres ne sont pas élus mais nommés – et qu’elle penche du coté politique de son président. Par exemple, Meni Mazuz et Anat Baron les derniers entrés, ont été nommés par Tzipi Livni et Isaac Herzog, deux personnalités de gauche.
  • Le financement d’ONG anti-israéliennes par des pays étrangers, qui non seulement sert les intérêts européens hostiles à Israël, et s’octroient un droit d’ingérance dans les affaires intérieures d’un pays étranger, mais en plus détourne le jeu démocratique en leur offrant, par la taille de leurs financements, une dimension et un poids très supérieurs à leur vraie taille. Ainsi, des organisations de moins de 10 personnes ont, grâce aux millions et aux carnets d’adresse de pays européens, une visibilité internationale disproportionnée. (C’est par cette distortion que l’ONG Breaking the silence, financée par des anti-sionistes européens, a obtenu les moyens financiers et humains de dénicher une poignée de soldats israéliens d’extrême gauche prêts à mentir sur l’attitude de l’armée israélienne lors du conflit à Gaza, dossier que les médias, trop heureux de pouvoir discréditer Israël, se sont empressés d’endosser sans la moindre vérification).

 

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NETANYAHU FORME SON GOUVERNEMENT: CA VA ÊTRE DUR DE TENIR 2 ANS COMME ÇA !

Amos Lerah

JSSnews, 7 mai 2015

           

Benjamin Netanyahu a finalement conclu la formation d’une coalition gouvernementale, 2 heures avant la date limite ! Un gouvernement tellement bancal que chacun parie déjà sur les futures législatives anticipées… Les plus optimistes donnent 2 ans au gouvernement pour tomber, les plus pessimistes 6 mois !

 

Le chef du HaBayit HaYehudi Naftali Bennett a confirmé sur Twitter la conclusion d’un accord entre son parti et le Likud de Netanyahu, qui confère à celui-ci une majorité minimale de 61 sièges sur 120 au Parlement pour gouverner.

 

« Les négociations sont terminées, la campagne est finie, maintenant nous nous mettons au travail », a écrit Bennett.

 

Sans cet accord de dernière minute avec HaBayit HaYehudi qui a chèrement vendu son soutien, le président Reuven Rivlin aurait confié à un autre député – probablement le leader travailliste Isaac Herzog – la charge d’essayer de former un gouvernement.

 

Après avoir informé le président Reuven Rivlin, Netanyahu doit présenter son gouvernement à la Knesset pour recueillir sa confiance dans les prochains jours.

 

Mais la majorité parlementaire qu’il s’est assurée au prix de concessions considérables est tellement ténue qu’elle est soumise au caprice, à la défection voire à l’absence du premier parlementaire venu.

 

Netanyahu est un « général sans soldats », a d’ailleurs écrit le quotidien Maariv.

 

Le quadrige constitué par le Likoud de M. Netanyahu, le Foyer juif, les partis ultra-orthodoxes Yahadout HaTorah et Shas et le parti de centre-droit Koulanou menace d’être incontrôlable. S’il durait, de grandes réformes promises comme celles du logement ou de la banque paraissent bien compromises.

 

Certains commentateurs ne lui donnent même pas jusqu’à la fin de l’année. Ils spéculent déjà autour de l’idée, dans l’air depuis un moment, d’un gouvernement d’union nationale entre le Likud et la gauche.

 

Le quatrième gouvernement de Netanyahu est confronté à des défis majeurs : les menaces sécuritaires à toutes les frontières d’Israël, la possibilité d’un accord nucléaire international avec le grand ennemi d’Israël que représente l’Iran, la restauration des liens détériorés avec les Etats-Unis, l’offensive diplomatique et judiciaire des Palestiniens, le coût de la vie et les inégalités sociales.

 

NUCLÉAIRE IRANIEN: LA LOI SUR LE DROIT DE REGARD DU

 CONGRÈS ADOPTÉE AU SÉNAT US

Réd.

i24news, 7 mai 2015

 

Le Sénat américain à majorité républicaine a voté jeudi à une quasi-unanimité pour obliger Barack Obama à soumettre tout accord nucléaire avec l'Iran au Congrès cet été, affirmant ainsi le rôle de supervision des parlementaires malgré la réticence de l'exécutif.

 

"Les Américains veulent que le Sénat et la Chambre des représentants, en leur nom, s'assurent que l'Iran rende des comptes, que le processus soit transparent", a déclaré Bob Corker, président de la commission des Affaires étrangères du Sénat.

 

Le vote final témoigne d'un extraordinaire consensus autour de la loi dite Corker-Menendez, à l'issue d'un marathon politique de plusieurs mois, perdu par la Maison Blanche: 98 voix contre une, celle du républicain Tom Cotton. Tous les démocrates ont voté pour.

 

La Chambre des représentants examinera le texte la semaine prochaine.

 

"Notre but est de pouvoir stopper un mauvais accord qui pourrait permettre à l'Iran d'acquérir des armes nucléaires", a déclaré le président républicain de la Chambre, John Boehner.

 

Barack Obama s'opposait initialement à ce que le Congrès ait son mot à dire sur l'accord définitif qui doit être paraphé d'ici le 30 juin entre Téhéran et le groupe de pays 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne); les négociations reprendront le 12 mai à Vienne.

 

Mais après l'annonce de l'accord-cadre le 2 avril en Suisse, les parlementaires américains ont repris l'assaut et les alliés démocrates de Barack Obama se sont peu à peu ralliés à la mesure législative.

 

Vaincue, la Maison Blanche a annoncé qu'elle soutenait la mesure. Elle "ne fera pas dérailler les négociations", a estimé Barack Obama le 17 avril, en levant sa menace de veto.

 

La loi Corker-Menendez, du nom de Bob Corker et du sénateur démocrate Robert Menendez, ne se prononce pas sur le fond de l'accord-cadre de Lausanne: elle mettrait seulement en place un mécanisme pour que le Congrès, en cas d'accord final fin juin, ait le temps d'en bloquer l'application si les élus le jugeaient mauvais.

 

Barack Obama serait obligé d'attendre que les élus examinent les détails de l'accord et organisent des auditions. Pendant 30 jours, aucune sanction adoptée ces dernières années par le Congrès ne pourrait être levée par l'exécutif. Le Congrès aurait ensuite trois options: voter une résolution approuvant la levée de sanctions parlementaires, voter une résolution bloquant la levée des sanctions, ou ne rien faire.

 

En cas de résolution de désaccord, Barack Obama aurait 12 jours pour opposer son veto, un veto que le Congrès aurait ensuite 10 jours pour surmonter par un nouveau vote à la majorité des deux tiers.

 

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YÉMEN: UN CHEF D'AL-QAÏDA IMPLIQUÉ DANS L'ATTAQUE CONTRE CHARLIE HEBDO ÉLIMINÉ

Réd.

i24news, 08 mai 2015

 

Un haut responsable d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique, Nasser Al-Ansi, qui avait revendiqué au nom du groupe extrémiste l'attaque contre Charlie Hebdo, a été tué par un drone américain au Yémen, a annoncé jeudi l'AQPA, selon le centre américain de surveillance des sites islamistes SITE.

 

Ce stratège militaire du réseau extrémiste était apparu dans plusieurs vidéos d'AQPA. Dans l'une d'elles, diffusée le 14 janvier, il affirmait que son groupe avait mené, par l'intermédiaire des frères Kouachi, l'attaque ayant décimé une semaine plus tôt la rédaction de Charlie Hebdo, pour «venger» Mahomet, caricaturé par le journal satirique français.

 

Dans une autre vidéo, en décembre 2014, il avait accusé le président américain Barack Obama de porter l'entière responsabilité de la mort de deux otages américain et sud-africain, Luke Somers et Pierre Korkie.

 

Les deux hommes ont péri au Yémen lors d'une opération commando ratée lancée par les États-Unis à la veille de l'expiration d'un ultimatum fixé par Aqpa, qui par la voix de Ansi menaçait d'exécuter l'Américain, kidnappé en septembre 2013 dans la capitale yéménite Sanaa.

 

La mort d'Ansi a été annoncée par un responsable d'Aqpa, Abou al-Miqdad al-Kindi (AKA Khaled ben Omar Batarfi), dans une vidéo de 11 minutes diffusée sur Twitter, selon SITE.

 

SITE précise que «selon des informations de presse, Ansi a été tué par un raid de drone à Moukalla, une ville du gouvernorat du Hadramout au Yémen, en avril avec son fils et six autres combattants».

 

Les États-Unis sont le seul pays à disposer de drones dans la région.

 

Selon une biographie fournie en novembre 2014 par Aqpa, Nasser ben Ali al-Ansi est né en octobre 1975 à Taëz, au Yémen, affirme SITE. Il a participé au «jihad» en Bosnie en 1995, avant de retourner au Yémen puis de se rendre au Cachemire et en Afghanistan. Il avait rencontré le chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden, –tué depuis– qui l'avait chargé de questions administratives, avant de participer à davantage de camps d'entraînement où il avait excellé. Il a été emprisonné six mois au Yémen puis avait rejoint Aqpa en 2011.

 

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QATAR : LA FRANCE SOUS INFLUENCE

Réd.

RT Français, 07 mai 2015

           

François Hollande a signé aujourd’hui à Doha la vente de 24 Rafale au Qatar. La France poursuit avec l’émirat une relation privilégiée mais dont la bienveillance peut paraître discutable au regard de ses visées islamistes.

 

Le Président français justifie sa présence dans la capitale qatarie, accompagné du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian par ces mots : «c'est d'abord parce qu'il y a une longue tradition, et ensuite parce que la France est regardée comme un pays fiable, à qui il est possible de donner sa confiance pour un pays partenaire».

 

Un «pays partenaire» dont il convient d’apprécier la stratégie d’influence auprès d’acteurs économiques et de certaines communautés présentes en France.

 

Depuis son élection en 2012, François Hollande s’est rendu quatre fois au Qatar. Le premier chef d’Etat qu’il a reçu à l’Elysée est son émire, «un évènement qui illustre l’importance pour Hollande de l’Emirat du Golfe persique, mesurant à peine la taille de la Corse», a signalé le Gatestone Institute, think tank de politique internationale.

 

Cette relation spéciale existe cependant depuis plus longtemps. Le Qatar a pris des parts dans de nombreux fleurons de l’économie française : dans Louis Vuitton Moët Hennessy, champion mondial de l’industrie du luxe, dans l’énergie avec Total, dans les medias avec Lagardère. Ainsi, des fonds qataris possèdent 13% du groupe Lagardère, qui détient 7,5% d’EADS, la compagnie mère d’Airbus, numéro 1 mondial de l’aviation commerciale.

 

Des investisseurs qataris s’offrent aussi de grands noms de l’hôtellerie de luxe, par exemple les hôtels Carlton et Martinez à Cannes, ou les prestigieux Concorde Lafayette et hôtel du Louvre à Paris. Autre achat hautement symbolique – le club de football Paris Saint-Germain est également passé sous la bannière de l’Emirat en 2011. Son logo a ainsi dû être modifié, en gommant le berceau et la fleur de lys, références à la royauté chrétienne.

 

Plus inquiétante encore est la stratégie d’influence envers les banlieues. Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le Qatar avait annoncé sa volonté d’investir 50 millions d’euros dans les banlieues françaises ou vit la «grande majorité des six millions d’immigrés musulmans en France» selon les mots du Gatestone Institute, somme ensuite doublée à 100 millions d’euros. Selon ces mécènes, les fonds sont notamment destinés à combattre la pauvreté en Seine-Saint-Denis. Des émeutes y ont éclaté en 2005 après la mort de deux adolescents dans une course poursuite avec la police à Clichy-sous-Bois. Les violences se sont alors étendues dans de nombreuses banlieues françaises avec plus 10 000 véhicules incendiés et près de 3000 arrestations.

 

Le spécialiste du Moyen Orient Karim Sader explique à France 24 : «Nous sommes tentés de lier ces fonds pour les banlieues aux penchants islamistes du Qatar, étant donné le rôle de ce pays dans le financement des Printemps arabes et des Frères musulmans». Marine Le Pen avait alors dénoncé un «Cheval de Troie de l’islamisation».     

 

La vente des Rafale est loin d’être un coup d’essai de la coopération politique et militaire franco-qatarie. Dans le sillage des «printemps arabes», la France et le Qatar ont fait œuvre commune en Libye et en Syrie. Alors que l’émirat a financé les mouvements islamistes, la France a été le fer de lance de la campagne de bombardements sur la Libye et a prôné cette même solution contre Damas.

 

EUROPE ISRAËL APPELLE À BOYCOTTER LES PUBLICATIONS DU GROUPE LE MONDE

Réd.

http://www.europe-israel.org, 07 mai 2015

           

Le 4 mai 2015, le journal le Monde publiait pas moins de 4 articles violemment à charge contre Tsahal, l’armée de défense d’Israël.

 

Un beau tir groupé, démontrant une volonté manifeste et prémédité de nuisance massive.

 

Une grande partie de la presse a publié les conclusions de ce rapport, mais aucun journal ne l’a fait de manière aussi vicieuse que Le Monde.

 

L’auteur unique de ces quatre articles est le correspondant du Monde à Jérusalem, Piotr Smola.

 

Deux de ces articles (en lecture libre disponible ici et ici) sont basés sur un rapport de L’ONG ultra-gauchiste israélienne breaking the silence, qui a publié le 4 mai un document contenant, selon elle, les témoignages d’une soixantaine de soldats israéliens ayant participé à l’opération « Bordure protectrice », l’été dernier.

 

Il est bon de rappeler que cette organisation reçoit des fonds directement de l’Autorité Palestinienne. Des membres de cette organisation ont participé à des flottilles (Bateau Irène, septembre 2010) ayant pour but de forcer le blocus de Gaza et ont été accusés par la police israélienne de provoquer les habitants des implantations afin de créer des troubles.  Même le très à gauche journal Haaretz décrit l’organisation comme très partisane. Sa crédibilité est donc proche de zéro.

 

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SCÈNE DE DJIHAD AU TEXAS

Guy Millière

http://www.dreuz.info, 07 mai 2015

           

Un journal s’est livré à une attaque en règle contre l’organisatrice de l’événement, Pamela Geller, et l’a quasiment présentée comme la vraie responsable de ce qui s’est passé. Une journaliste réagissant immédiatement après la « fusillade » a déclaré sur une chaîne de télévision d’information continue que les motifs des assaillants étaient un mystère : le comportement de gens qui se réclament d‘Allah et qui tirent sur des policiers est incontestablement sans motifs et très mystérieux. Pour certaines personnes, les voies de l’islam radical semblent impénétrables. Ces personnes sont, hélas, nombreuses à exercer la profession de journaliste.

 

Les grands médias américains n’ont, en ces circonstances, ce doit être dit, pas été plus brillants que les grands médias français, ce qui est un triste signe des temps.

 

La vérité est qu’il n’y a pas eu une « fusillade », mais une tentative d’attaque terroriste djihadiste perpétrée par deux Musulmans, l’un converti, Elton Simpson, l’autre décrit par ses proches comme un « modéré », Nadir Soofi.

 

La vérité est que l’un des deux, Elton Simpson avait, en 2011, été arrêté par le FBI, qui avait établi sa volonté de rejoindre un groupe djihadiste en Somalie. Un juge l’avait relâché, « faute de preuves suffisantes », et l’avait juste condamné à trois années de mise à l’épreuve. Il n’avait pas été surveillé davantage ensuite.

 

La vérité est que les deux partageaient le même appartement à Phoenix et se rendaient à la même mosquée, où se tiennent jusqu’à présent des discours très compréhensifs vis-à-vis du djihadisme, l’Islamic Community Center de Phoenix. Usame Shami, responsable de la mosquée s’est dit « choqué » par ce qui est arrivé : s’il avait été choqué par les discours teu dans sa mosquée, ce qui est arrivé ne serait peut être pas arrivé.

 

La vérité est que Simpson avait revendiqué l’attaque au nom de l’Etat Islamique, par un tweet, juste avant l’attaque. Depuis, l’Etat Islamique a reveniqué l’attaque et promis bien pire sur le sol américain.

La vérité est que les policiers américains ont révélé leur efficacité : un seul policier, avec son arme de service, a abattu les deux terroristes dès qu’ils ont commencé à tirer. Si les policiers français avaient fait preuve d’une efficacité semblable, les frères Kouachi seraient morts dans une rue du onzième arrondissement de Paris, sans pénétrer dans les locaux de Charlie Hebdo.

 

La vérité est que l’événement visé n’était pas une « réunion islamophobe », mais un concours de caricatures de Mohammed. Le gagnant est un ancien Musulman, Bosch Fawstin : son dessin montre Mohammed brandissant un sabre et disant « vous ne pouvez pas me dessiner, et, en dessous, une main en train de dessiner Mohammed.

 

Le concours a été organisé par Pamela Geller, une femme courageuse qui défend Israël, les Etats Unis et ce que sont leurs valeurs depuis 1776, et qui dénonce l’islam radical. Elle n’a pas peur de l’islam et ne souffre d’aucune phobie. Quand elle voit un barbare elle dit qu’elle voit un barbare, et elle a raison. Quand elle voit un homme réduit à l’état sauvage par l’islam radical, elle dit qu’elle voit un homme réduit à l’état sauvage, et elle a raison encore.

 

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