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L’ANTI-ISRAËLISME: LORSQUE CE QUI DEVRAIT ÊTRE UNE TRAGÉDIE TOURNE EN COMÉDIE.

APRÈS LES REQUINS DU MOSSAD,
LES POULES ÉGYPTIENNES EMPOISONNÉES

Laure Onno

Guysen International News, 27 février 2012

On croyait en avoir fini avec les vieux stéréotypes antisémites, mais visiblement ils vont toujours bon train. En Égypte on soupçonne encore Israël de semer du poison.

On se souvient des Accusations datant du Moyen-âge, selon lesquelles les Juifs empoisonnaient les puits, et bien ces vieilles théories du complot reviennent de plus belles en Égypte. Le ministre égyptien de la santé est persuadé qu’une guerre biologique lui a été lancée par Israël, par des produits que l’État Juif ferait entrer clandestinement via le Sinaï.

 

On se souvient du «requin du Mossad», c’est ainsi que le gouverneur du Sud du Sinaï avait nommé le requin responsable des attaques sur les côtes égyptiennes de la Mer Rouge. Tout comme le Mossad aurait soi-disant jeté ce requin mortel pour perturber le tourisme en Égypte, les poules égyptiennes seraient empoisonnées par Israël.

 

En Égypte, l’explication est toute trouvée: des produits chimiques entreraient clandestinement depuis Israël afin d’injecter de dangereux virus au sein du pays. C’est une étude «révélée» par le Comité de santé de l’Assemblée égyptienne qui relance le débat :

 

Selon un spécialiste de la prévention en matière vétérinaire, une étude menée dans 200 fermes égyptiennes démontrerait que la plupart des poulets traités par les vaccins en provenance d’Israël contractent de graves maladies: maladies virales, grippe aviaire, voire en mourraient.

 

La télévision égyptienne affirme quant à elle qu’Israël exporte aux pays arabes des produits hautement cancérigènes, tels que du chocolat, du café, des biscuits, ou encore des yaourts, mais aussi, dernière nouveauté: «des jeans toxiques».

 

Un membre d’une tribu bédouine est venu s’en expliquer lors d’une émission égyptienne intitulée «The Truth» (la Vérité): il s’agit de jeans équipés de ceintures contenant un aimant provoquant la stérilité. Et dans quel but Israël ferait-il cela? Pour les Égyptiens, il ne fait aucun doute qu’Israël cherche à «empêcher la multiplication des Arabes», toujours ce mythe du complot qui revient toujours et encore.

 

Un porte-parole du mouvement des «Révolutionnaires du Sinaï» a au passage appelé au boycott des produits israéliens: «Nous devons comprendre que l’entité sioniste tue nos enfants et vole notre terre; ses produits sont mortels et contiennent du poison; vous ne le sentez peut-être pas mais vous ne pourrez pas y échapper. Israël continue à être un ennemi malgré nos accords de paix, parce qu’il lorgne sur notre terre». C’est une affaire à suivre…

LA PSYCHOLOGIE DES JUIFS QUI ADOPTENT
LA POSTURE DE LEURS ENNEMIS

M. Gerstenfeld & K. Levin

UPJF.org, 28 février 2012
Adaptation française: Marc Brzustowski

«Un certain nombre de Juifs et d’Israéliens adoptent les critiques venant des cercles antisémites et des extrémistes anti-israéliens. Ils ont eu beaucoup de précurseurs au cours de la longue histoire de la Diaspora juive. Ce phénomène révèle de grandes similarités, au niveau de la psychologie humaine, avec les réponses des enfants victimes d’abus chroniques. Ces enfants ont tendance à s’accuser d’être la cause de leurs souffrances.

 

Dans leur condition dénuée de tout recours, il leur reste deux alternatives: soit, ils parviennent à reconnaître qu’ils sont traités en victimes expiatoires de façon inique et pourront se réconcilier avec eux-mêmes, malgré le fait de se voir réduits à l’impuissance, soit il leur reste à s’accuser d’être à l’origine de leur situation difficile. L’attrait de cette dernière proposition – «Je souffre parce que je suis foncièrement mauvais» – provient du fait qu’elle comble le désir de reprendre du contrôle, et répond au fantasme qu’en devenant «bon», ils finiront par arracher des représailles moins violentes de la part de leurs tourmenteurs. Aussi bien les enfants que les adultes cherchent invariablement à éviter de rester sans le moindre espoir».

 

Kenneth Levin est psychiatre, historien et auteur de plusieurs livres, parmi lesquels: The Oslo Syndrome: Delusions of a People under Siege. [Le Syndrome d’Oslo: les Désilusions d’un peuple assiégé]. Il est formateur clinicien en psychiatrie à l’Institut Médical d’Harvard.

 

Dans le Syndrome d’Oslo, Levin explique l’attitude des Israéliens qui sont atteints de haine d’eux-mêmes: [Il y a] «une volonté de croire qu’Israël a le contrôle de circonstances particulièrement stressantes sur lesquelles, malheureusement, il n’y a pas de contrôle réel. Une paix authentique n’adviendra au Moyen-Orient que lorsque le monde arabe, qui est, de loin, le parti dominant dans cette région, finira par percevoir une telle paix comme étant dans son propre intérêt. Les politiques israéliennes ont, en fait, très peu d’impact sur les perceptions arabes, de ce point de vue, bien moins, en tout état de cause, que les dynamiques des politiques intérieures au sein des États Arabes et que les rivalités interarabes».

 

Lévin ajoute, à présent: «La vulgarisation de la haine contre Israël, qui est ventilée par les gouvernements arabes, les systèmes éducatifs, les media et les prédicateurs musulmans, est profondément ancrée dans l’opinion arabe. Ce n’est pas un phénomène totalement isolé, mais il se coule dans un cadre bien plus vaste. Depuis les tous premiers jours de l’édification du monde arabo-musulman, il y a toujours eu une animosité très répandue contre les minorités aussi bien ethniques que religieuses, dans cette région. Ce serait une erreur d’attribuer, par exemple, la pression exercée contre les minorités chrétiennes, exclusivement comme le résultat de l’émergence du fondamentalisme musulman. L’hostilité arabo-musulmane populaire a, aussi, conduit à des pressions exercées contre des Musulmans non-Arabes, tels que les populations berbères d’Afrique du Nord.»

 

«Alors que ces Juifs et Israéliens qui adoptent des argumentaires anti-juifs le font, habituellement, dans l’espoir de s’attirer les bonnes grâces des ennemis des Juifs, ils reconnaitront difficilement cette source de leur motivation. Ils prétendront plutôt, en règle générale, que leur position ne fait que refléter une position morale ou éthique bien supérieure. Par le passé et encore actuellement, les antisémites ont communément prétendu que les Juifs étaient exclusivement intéressés par leur propre bien-être. Cela a conduit de nombreux Juifs à concentrer leurs énergies sur des causes sociales plus larges, même lorsque la communauté juive souffrait d’une situation défavorisée unique en son genre. Les Juifs qui suivent ce processus, n’admettent habituellement, pas qu’ils le font pour éviter d’être accusés de chauvinisme ou d’esprit de clocher. Ils prétendront, plutôt, être habités d’un sentiment de justice transcendante et par des préoccupations profondes de vouloir répondre à des besoins universels.»

 

«Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, particulièrement après que fut révélé le programme d’extermination nazi, vers la fin 1942, de nombreux dirigeants juifs américains ont cherché à provoquer une prise de conscience sur la situation tragique des Juifs d’Europe, afin de promouvoir des efforts pour les sauver. Pourtant, ils ont aussi limité leur campagne, par crainte de réveiller la colère du public contre une préoccupation juive centrée sur un problème juif, et ils ont souvent rationalisé cette façon de faire, comme si elle reflétait leur dévotion à une tâche plus hautement patriotique, visant à gagner la guerre. C’étaient, plus largement, des voix non-juives qui ont insisté sur le fait que le programme d’extermination nazi n’était pas seulement un crime contre les Juifs, mais bien un crime contre la civilisation et contre toute l’humanité, et qu’il devait, par conséquent, faire l’objet de la préoccupation de tout un chacun.»

 

Levin observe que: «Durant les soixante dernières années, la communauté juive américaine, dans l’ensemble, a énergiquement adopté une position de soutien à Israël. Cela a été rendu plus facile par le fait que le très large public américain éprouve, traditionnellement, de la sympathie envers l’État juif. D’un autre côté, Israël s’est trouvé exposé à de nombreuses critiques, dans certains media américains, sur beaucoup de Campus et au sein de courants dominants des églises libérales. Ces segments de la communauté juive qui vivent et travaillent dans des environnements hostiles à Israël, adoptent communément les poncifs anti-israéliens présents dans leur entourage. Et ils insistent souvent sur le fait qu’en se comportant de la sorte, ils font preuve de grande vertu.»

 

«Les dynamiques psychologiques des communautés sous le coup de l’hostilité ambiante expliquent pourquoi, autant à l’extérieur qu’en Israël, le siège virtuel mis en place autour de l’État Juif continuera à mener des segments des communautés juives à soutenir leurs assiégeants et à exhorter à une réforme juive de l’intérieur, comme si c’était le plus court chemin pour obtenir un soulagement. Pourtant, la voie qu’ils préconisent n’est pas moins délirante que celle des enfants violentés qui s’accusent des abus qu’ils subissent. Tout autant que ces enfants, ils se destinent psychologiquement à une vie d’abnégation auto-imposée et de misère. Dans le cas des Juifs culpabilisant Israël pour la haine qui est dirigée contre lui, la misère qu’ils cultivent va bien au-delà d’eux-mêmes et, en définitive, elle sape l’existence même d’Israël.»

(Le Dr. Manfred Gerstenfeld préside le Conseil d’Administration du
Centre des Affaires Publiques de Jérusalem. Il a publié 20 ouvrages.
Plusieurs d’entre eux traitent d’anti-israélisme et d’antisémitisme.)

 

LES MILITANTS DE LA HAINE
André Nahum

Terredisrael.com, 29 février 2012

Les «anti-sionistes», nouvelle «appellation contrôlée» des antisémites, organisent régulièrement des opérations coup de poing pour inciter à boycotter Israël, le diaboliser, le présenter comme un pays d’assassins d’enfants et de nazis pratiquant l’apartheid, pour en dégouter et en éloigner l’opinion publique, pour nier sa légitimité et son droit d’exister. C’est monstrueux allez vous me dire! Oui et ça marche!

 

Les accusations calomnieuses des islamo-gauchistes gagnent de plus en plus de terrain et finissent par faire mouche chez les «bien-pensants» et parfois même chez des Juifs.
Cette entreprise de démolition systématique de l’état hébreu, tisse dans le monde un vaste réseau qui même s’il se camoufle derrière des propos hautement humanistes et démocratiques ne vise qu’à la destruction d’un état qui représente à leurs yeux la quintessence du mal face aux Palestiniens qui sont eux, la représentation parfaite du bien.
 

Alors, ce sont des irruptions de groupes déterminés, dans des grandes surfaces, pour détruire ou mettre à sac les rayons où se trouvent des produits israéliens. Ce sont des conférences pseudo-sociologiques qui ne leur servent en réalité qu’à exhaler en commun, recouverts d’un keffieh, leur haine pathologique d’Israël en brandissant des drapeaux palestiniens et parfois même ceux du Hamas, un organisme dont la distraction principale consiste à lancer des roquettes sur les enfants israéliens.

 

Mais ce n’est là sans doute qu’un jeu innocent dont les Israéliens auraient tort de s’offusquer. La dernière initiative en date de ces «israélophobes» s’est traduite par un bide. Ils avaient programmé pour les 27 et 28 fevrier derniers une rencontre qui devait se dérouler à l’Université Paris VIII avec comme titre «Israël, État d’apartheid?»
 

Le point d’interrogation n’étant là que comme un cache-sexe pour dissimuler la vraie nature de ce pseudo-colloque où n’auraient pu s’exprimer , comme chez les Staliniens, que les membres et les sympathisants du «collectif Palestine», d’Euro-Palestine, du comité du boycott, ceux du «parti antisioniste» et bien entendu des gens comme Faurisson ou Dieudonné.

 

Eh bien figurez vous que le président de l’Université a refusé au dernier moment d’héberger ce beau monde et pour éviter des troubles de l’ordre public a fermé son Université pendant deux jours en leur proposant d’aller tenir leur meeting à la Mutualité de Saint-Denis. Ce manquement aux bonnes manières provoqua comme on s’en doute la colère de nos redresseurs de torts qui durent se résoudre à cette solution de substitution en maudissant le «lobby juif» responsable de leur déconvenue.

 

La morale de cette histoire, c’est qu’il faut se battre par tous les moyens légaux à notre disposition, réveiller et motiver nos amis, en sachant toutefois que si ces agressions nous blessent, elles sont perçues par Israël comme des coups d’épingle et ne l’empêchent nullement de continuer à étonner le monde par ses extraordinaires réalisations, qui malgré l’exiguïté de son territoire et la haine ambiante font de lui un grand pays et suscitent jalousie et envie.

LA FEMME INDIGNE
Richard Martineau

martineau.blogue.canoe.ca, 29 février 2012

Les détracteurs de Djemila Benhabib (l’auteure de Ma vie à contre Coran et Les soldats d’Allah à l’assaut de l’Occident) l’accusent d’exagérer la menace islamiste. La dame aime la publicité et s’invente des ennemis pour mieux pouvoir les combattre, disent-ils. Ah oui? Vous devriez lire les commentaires qu’elle reçoit sur son blogue du Journal de Montréal.

BRITNEY OU JENNIFER

En voici quelques-uns:

«Vous allez être attaquée en justice pour vos propos. Better be ready

«Cette Djamila est une ratée, elle veut être célèbre en s’attaquant à l’Islam, comme l’ont fait ses prédécesseurs, Salman Rushdie et autres. Mais elle n’ira pas loin, parce que les putes de son genre finissent par être jetées aux ordures.»

«Madame Benhabib, une Algérienne, une arabe, de père musulman, nous fait honte. Je vous suggère de changer votre prénom qui vous fait passer pour une musulmane arabe. Vous devriez vous appeler plutôt Marylin, Jennifer, Britney ou Samantha. Ces prénoms vous conviennent très (très) bien.»

«Je pense que tu as un gros problème psychologique ou tu es complexée d’être une arabe. C’est grave ce que tu dis à propos de notre prophète, que le Grand Dieu de pardonne!»

DES FEMMES DÉGOÛTANTES

Attachez votre tuque avec de la broche, en voici d’autres:

«À propos du hijab, la femme qui le porte est toujours respectée, contrairement à ce qu’on voit partout, les femmes à moitié nues, dégoûtantes. Moi, je n’ai jamais porté le voile dans mon pays, ça fait maintenant six ans que je le porte et c’est une fierté pour moi! Je regrette de ne pas l’avoir mis plus tôt!»

«Quand je portais des vêtements normaux, des hommes me regardaient en sortant la langue comme si j’étais un morceau de viande, c’était pitoyable…»

Et, enfin, celui-ci:

«Benhabib et Martineau aiment surfer sur cette vague d’islamophobie. Tant mieux si ça leur permet de remplir leurs chroniques quotidiennes. Mais la majeure partie de leurs lecteurs sont des aliénés mentaux ou des mongols.»

LE MOT MAGIQUE

Alors, elle exagère, Djemila? Elle en met une couche pour se rendre intéressante? Moi, c’est l'accusation d’islamophobie qui me fait grimper aux rideaux. Celle insulte-là, les barbus la sortent dès que quelqu’un critique l’Islam. Ça fait plus de 15 ans que je pourfends les extrémistes religieux de tout acabit, autant les grenouilles de bénitiers que les fous d’Allah.

Au cours de ces années, je n’ai jamais été traité de christianophobe, même si j’ai parfois été très dur envers certains cathos, monseigneur Ouellet en tête. Mais chaque fois que j’ose attaquer les fondamentalistes musulmans, bingo, on me traite d’islamophobe. Comme s’il suffisait de sortir ce mot magique pour enterrer les critiques…

CAMPAGNE D’INTIMIDATION

Vous me direz que tous les «donneurs d’opinions» reçoivent des commentaires haineux. Vrai. Mais dans le cas de Djemila, c’est différent. Depuis la parution de son blogue, elle est l’objet d’une campagne d’intimidation et de harcèlement particulièrement virulente, menée par un groupe de musulmans radicaux qui agissent en meute pour la faire taire.

Et après ça, on nous dira que le fondamentalisme islamiste n’existe pas au Québec, que tout ça est le fruit de notre paranoïa. Bien tiens… 

DES TOURISTES CHRÉTIENS ET JUIFS CAILLASSÉS
PAR UN GROUPE DE RACAILLES SUR LE MONT DU TEMPLE

Yonatan Aboulkeir

JSSNews, 29 février 2012

Des foules de musulmans ont à nouveau jeté des pierres sur les touristes et pèlerins chrétiens et juifs de Jérusalem, depuis le sommet du Mont du Temple. Une attaque similaire à celle de la semaine dernière.

 

Un officier de police qui se trouvait parmi le groupe de chrétiens a été blessé et les deux assaillants musulmans ont été arrêtés. Contre qui luttaient-ils? Pour quelles raisons? Peut-être pour dénoncer ceux qui viennent marcher sur les pas de Jésus ou du Roi Salomon? On se souvient que sous occupation musulmane, Jérusalem était fermée aux autres religions.

 

En outre, la police étaient déjà en état d’alerte élevé pour éviter des affrontements au sommet du Mont du Temple, après que des sites et blogs islamiques locaux aient appelé à «protéger» les mosquées «d’une profanation» avec des juifs et des chrétiens priant à quelques mètres de là.

 

Vingt-quatre heures plus tôt, la police a arrêté un petit groupe de Juifs qui avait, en effet, l’intention de commettre le crime odieux de prier sur le Mont du Temple, le site le plus sacré du judaïsme… Là ou les arabes ont construit le Dôme du Rocher en remplacement du Temple de Jérusalem.

 

Dimanche dernier déjà; une foule de quelque 50 musulmans palestiniens avait lapidé un groupe de chrétiens qui visitaient le Mont du Temple. Trois policiers israéliens qui protégeaient les touristes ont été blessés.

 

Cette attaque a été lancée par l’ancien mufti de Jérusalem, Ekrama Sabri. Les personnalités religieuses musulmanes prétendent régulièrement qu’Israël complote pour détruire le Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa et ainsi ouvrir la voie à la reconstruction du Temple juif. Un temple «qui n’a jamais existé» selon cette personnalité de premier ordre à Ramallah.

 

En raison de la menace constante de la violence musulmane, et malgré le fait que le Mont du Temple est le lieu le plus saint pour les juifs, la police israélienne a décidé de se conformer aux exigences musulmanes en imposant de sévères restrictions aux visiteurs non-musulmans sur le site. Par exemple, les juifs et les chrétiens sont interdits de visiter cette esplanade avec des livres de prières. Ils sont aussi interdits de prier silencieusement. [sic]

 

Triste réalité d’une Jérusalem-Est ou l’apartheid religieux est déjà de mise. Qu’en sera t-il demain avec un «État Palestinien»?

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