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DES ALLIANCES MOUVANTES

 

 

Jérusalem:

14 blessés dans une attaque à la voiture-bélier

                           I24, 14 dec., 2015

             

14 Israéliens ont été blessés lors d'une attaque à la voiture bélier à Jérusalem dimanche. Ils ont tous été évacués vers des hôpitaux israéliens. Parmi les victimes, un bébé de 18 mois et une femme âgée de plus de 60 ans sont sérieusement blessés. Le bébé a été transporté à l'hôpital Hadassah où il doit être opéré, a indiqué une porte-parole de l'établissement.

 

L'attaque a eu lieu vers 15h00 (heure locale) à l'entrée de Jérusalem, près de la gare centrale d'autobus de la capitale israélienne. L'auteur de l'attaque a lancé son véhicule sur un groupe de piétons attendant à un arrêt de bus, a indiqué la police. Le terroriste est mort après avoir été touché par balle lorsqu'il est sorti du véhicule pour tenter de poignarder des passants. Il s'agit d'Abdel Mohsen Hassouna, un jeune âgé de 21 ans, résident d'un quartier de Jérusalem-Est. Une hache a été retrouvée à l'intérieur de son véhicule.

 

Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a souhaité un rapide et bon rétablissement aux blessés et a salué les forces de l'ordre présentes sur le terrain. Netanyahou a ordonné la fortification de centaines d'arrêts de bus dans Jérusalem. Cette décision a été prise après avoir consulté le ministre des Transports, le ministre de la Sécurité intérieur et le maire de Jérusalem.

 

"Nous devons faire face à un nouveau type de terrorisme. Le terrorisme d'individus qui défie non seulement Israël mais aussi d'autres pays dans le monde. Nous travaillons sans relâche contre le terrorisme. Je n'ai aucun doute que nous le vaincrons", a déclaré le Premier ministre lors d'une réunion avec les membres de son parti politique, le Likoud.

 

Par ailleurs, trois Israéliens ont été légèrement blessés par des jets de pierre sur leur véhicule près de Beit Arye en Cisjordanie. "La hache retrouvée à bord du véhicule du terroriste à Jérusalem le 14 décembre 2015" "Lieu de l'attentat à la voiture bélier le 14 décembre 2015 à Jérusalem"

 

Vendredi, des affrontements ont éclaté entre soldats israéliens et Palestiniens le long de la frontière entre Gaza et Israël ainsi que dans plusieurs villes de Cisjordanie. Deux Palestiniens sont tués lors de ces heurts a indiqué le ministère palestinien de la Santé. Plus tôt vendredi, deux attentats contre des citoyens israéliens en Cisjordanie avaient eu lieu avec tirs et attaque à la voiture bélier.

 

Jérusalem avait déjà été le théâtre d'une attaque à la voiture bélier le 6 décembre. Trois personnes avaient alors été blessées. Depuis le 13 septembre, la vague d'attentats contre des citoyens israéliens en Israël et en Cisjordanie a fait 22 morts et 274 blessés.

 

 

DES EXPERTS MILITAIRES INTERNATIONAUX SOUTIENNENT

TSAHAL POUR SA CAMPAGNE DE 2014 A GAZA                                            

Judah Ari Gross

Times of Israel, 13 decembre, 2015

 

Les armées du monde entier seraient beaucoup moins efficaces si elles devaient opérer sous les mêmes restrictions que l’armée israélienne pendant sa campagne de l’été 2014 à Gaza, affirme un groupe d’anciens dirigeants militaires et de la défense de neuf pays dans un nouveau rapport publié vendredi.

 

A la suite d’investigations qui ont duré plusieurs mois sur le conflit de 50 jours, le groupe de militaires de haut niveau (HLMG) – composé de généraux et de fonctionnaires de la défense retraités d’Allemagne, de Colombie, d’Inde, d’Espagne, d’Australie, des Etats-Unis, de France, du Royaume-Uni et d’Italie – a conclu qu’Israël avait non seulement agi selon les lois des conflits armés, mais avait largement dépassé ses exigences, malgré des rapports accablants de l’ONU et d’organisations non gouvernementales accusant l’armée israélienne de potentiels crimes de guerre.

 

Le groupe avait déjà défendu les actions d’Israël dans la bande de Gaza plus tôt cette année, soumettant leur rapport préliminaire à la commission des droits de l’Homme de l’ONU qui enquête sur cette opération, mais le rapport final de 80 pages du groupe va bien plus loin que leurs affirmations initiales.

 

« Nos conclusions sont diamétralement opposées à celles du rapport de l’ONU », a déclaré jeudi au Times of Israel le Colonel Richard Kemp, l’un des auteurs du document et ancien commandant des forces britanniques en Afghanistan, accusant le manque d’expertise militaire de la commission des Nations unies qui enquête sur ce conflit. « Le rapport de l’ONU a été fait trop vite et par les mauvaises personnes ».

 

Le HLMG, qui comprend l’ancien président de la commission militaire de l’OTAN, l’ancien secrétaire général de l’armée italienne, un ancien ambassadeur extraordinaire des Etats-Unis pour les crimes de guerre et l’ancien directeur général de l’agence de renseignements militaires indienne, a été formé par l’initiative des amis d’Israël, un groupe britannique créé en 2010 pour combattre une « campagne sans précédent de délégitimation d’Israël ».

 

Les rapports de l’ONU et d’ONG ont été écrits par des experts des droits de l’Homme, et pas par du personnel militaire qui est plus familier avec les lois sur les conflits armés. Sans cette expertise, les commissions enquêtant sur l’opération Bordure protectrice de 2014 ont abouti à des conclusions biaisées et inexactes, d’après Kemp.

 

Une question centrale de ces rapports est les pertes civiles. L’un des problèmes, selon le rapport, était l’acceptation par l’ONU des chiffres du Hamas pour les pertes de combattants vs. civils, ce qui porte la proportion de non-combattants tués à presque 70 % des quelque 2 000 morts, à comparer aux 50 % affirmé par Israël.

 

Le HLMG a trouvé que les chiffres du Hamas sont inconsistants, avec par exemple des « inclusions de noms dupliqués, des âges incorrects, des décès liés aux combats causés par le Hamas ou ses organisations affiliées, comme dans le cas de roquettes mal tirées, et des décès non liés aux hostilités mais classés comme tel ».

 

Plus problématique, les rapports de l’ONU et des ONG ont été établis selon le point de vue des droits de l’Homme et traitent le concept de mort civile comme intrinsèquement mauvais, même quand ces incidents sont survenus pendant des circonstances acceptables légalement, a déclaré Kemp. « Les lois des droits de l’Homme ne sont pas l’ensemble de lois qui gouverne ceci, ce sont les lois du conflit armé », a-t-il ajouté.

 

Les commissions enquêtant sur le conflit devraient avoir cherché à voir que tout ce qui était faisable a été fait pour éviter les morts de non-combattants, pas que des pertes ne sont pas arrivées, ce qui est inévitable en temps de guerre. Le standard de zéro mort civile est impossible à tenir, a déclaré Kemp.

 

Néanmoins, les 11 anciens fonctionnaires militaires et gouvernementaux ont conclu qu’Israël a adopté un niveau extrêmement haut de contraintes, jamais atteint, citant la maintenant fameuse technique de « frapper au toit » en larguant des munitions non explosives pour avertir les résidents que leur immeuble allait être bombardé, les coups de téléphone et les tracts jetés prévenant les non-combattants de quitter les lieux pour attaque imminente et d’autres exemples de missions annulées à cause des pertes de non-combattants potentielles.

 

« Ce seuil n’est pas quelque chose que les autres nations peuvent atteindre, a déclaré Kemp. Nous ne pouvons pas appeler tout le monde en Irak avant une frappe ». Ce standard, qui commence déjà à être appliqué dans d’autres armées que l’armée israélienne, est un obstacle à l’opportunisme militaire, a affirmé Kemp.

 

« Vous ne pouvez pas accomplir cet objectif et être efficace. C’est pour ça que nous ne sommes pas efficaces », a déclaré Kemp, se référant spécifiquement à la campagne actuelle de la coalition contre l’Etat islamique en Syrie et en Irak.

 

Non seulement cette intense attention internationale sur chaque mort civile est un obstacle intrinsèque à la capacité de l’armée israélienne et d’autres armées à mener une guerre efficace, mais cela met aussi ironiquement en danger plus de citoyens, puisque chaque mort civile peut être utilisée de manière perverse par le Hamas et d’autres groupes comme une arme sur le « front » de l’opinion publique…

[Lire la suite]

 

 

 

SONDAGE : 2/3 DES PALESTINIENS CROIENT PLUS

A LA VIOLENCE QU’A LA NEGOCIATION                                

Times of Israel, 14 Dec., 2015

 

Deux tiers des Palestiniens sont favorables à un soulèvement armé de type intifada plutôt qu’aux négociations avec les Israéliens pour faire avancer leur cause, indique un sondage publié lundi. Selon cette enquête réalisée par Policy and Survey Research (PSR), organisation respectée, 66 % des Palestiniens (71 % dans la bande de Gaza, 63 % en Cisjordanie) pensent que, « si les affrontements actuels dégénèrent en une intifada armée, ce développement servira les intérêts nationaux palestiniens alors que les négociations ne le peuvent pas ».

 

Les tensions actuelles ont pour effet que le sentiment de sécurité est désormais supérieur à Gaza (53 %), qui a connu pourtant trois guerres en six ans avec Israël, qu’en Cisjordanie (29 %). Le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a affirmé lundi que les jeunes manifestants palestiniens étaient « poussés par le désespoir face à une solution à deux Etats qu’on ne voit pas venir ».

 

Selon le sondage de PSR, seuls 45 % des Palestiniens soutiennent la solution à deux Etats palestinien et israélien vivant en paix, mais seuls 34 % pensent qu’elle est encore réalisable en raison du développement de la construction israélienne.

 

Abbas a dénoncé « la colonisation partout, les check-points partout et le mur (de sécurité israélien) partout », ainsi que le refus des Israéliens de respecter les accords passés. Selon le sondage, 65 % des Palestiniens veulent sa démission. En cas de présidentielle, le Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza l’emporterait face à M. Abbas. Son chef à Gaza, Ismaïl Haniyeh, est crédité de 51 % (contre 49 % il y a trois mois) et le président actuel de 41 % (contre 44 %).

 

Le mandat de Abbas a expiré depuis 2009 mais aucun scrutin n’est prévu en raison des divisions entre l’Autorité palestinienne et le Hamas. « Le public palestinien dit : ‘Abbas ne soutient pas la confrontation actuelle, il n’est pas sérieux dans la confrontation diplomatique avec Israël’, c’est pour cela qu’il perd du soutien », dit l’AFP Khalil Shikaki, qui dirige PSR.

 

 

 

UN TIERS DES COMBATTANTS DU HEZBOLLAH                        

AURAIENT ETE TUES OU BLESSES EN SYRIE

Avi Issacharoff

Times of Israel, 15 dec., 2015

 

La milice chiite libanaise du Hezbollah a vu entre 1 300 et 1 500 de ses combattants tués dans des combats dans la guerre civile syrienne, ce qui signifie qu’en comptant les blessés, elle a perdu le tiers de sa force de combat, selon des estimations israéliennes. Une partie des 5 000 membres de l’organisation terroriste ont été blessés dans les combats aux côtés des troupes du régime contre les groupes rebelles, notamment l’État islamique.

 

Le week-end dernier, les médias arabes ont publié des informations selon lesquelles le Hezbollah avait perdu 14 combattants dans des combats contre l’EI dans la région de Baalbek près de la frontière avec la Syrie, les photos des combattants ayant été publiées dans les médias libanais. Selon ces sources, l’État islamique aurait aussi subi des victimes, avec des dizaines de ses membres tués et de nombreux autres blessés.

 

Depuis récemment, le Hezbollah publie des détails sur ses membres tués en Syrie et ne cherche pas à cacher ses pertes, contrairement à sa politique au cours des premières années de la guerre civile syrienne, qui a éclaté en 2011. Les combattants ont maintenant des funérailles officielles et leurs cercueils sont couverts avec des drapeaux du Hezbollah.

En plus de ses opérations aux environs de la frontière syro-libansaise, le Hezbollah fait également campagne dans d’autres régions, comme la région connue comme l’Alawistan près de Latika dans le nord-ouest la Syrie, le bastion du président syrien assiégé Bashar el-Assad.

 

Au cours des trois derniers mois le Hezbollah a également lutté contre les groupes d’opposition syriens dans la région d’Idlib aux côtés de membres des Gardiens de la Révolution iraniens et de soldats de l’armée syrienne régulière, tout en bénéficiant d’une couverture aérienne russe massive dans le cadre des efforts de Moscou pour soutenir son allié el-Assad. Cependant, les Gardiens de la Révolution iraniens ont également connu de lourdes pertes. Selon les médias iraniens 80 soldats auraint été tués et d’autres pris en otage par diverses milices syriennes.

 

En juillet, la radio israélienne a rapporté que le Hezbollah avait arrêté 175 de ses propres combattants après qu’ils aient refusé de prendre part à des combats dans la ville syrienne de Zabadani, près de la frontière avec le Liban.

 

La radio a également cité le journal pan-arabe Asharq al-Awsat qui avait écrit que des combattants du Hezbollah envoyés en Syrie pour soutenir le régime, avaient commencé à montrer une certaine réticence à affronter les groupes rebelles cherchant à renverser Assad. Selon le rapport, l’hésitation a commencé après que 120 combattants du Hezbollah aient été tués dans des affrontements avec des groupes de l’opposition et 200 autres blessés.

 

 

 

NEW YORK: LE DRAPEAU ISRAELIEN RETIRE A LA CONFERENCE HAARETZ POUR SAEB EREKAT                    

I24,  14 dec., 2015

 

Le drapeau israélien, qui était présent et visible à la conférence Haaretz à New York, a été retiré au moment où le haut responsable de l'Autorité palestinienne en charge des négociations avec Israël, Saeb Erekat, a pris la parole.

Les responsables de la conférence organisée par le journal israélien Haaretz ont expliqué que cette décision a été prise à la demande d'Erekat qui a refusé de prononcer son discours avec en arrière-fond le drapeau de l'Etat d'Israël. L'emblème israélien a donc été retiré, ce qui a permis au représentant palestinien de s'exprimer et d'en profiter pour fustiger le "régime d'apartheid israélien".

 

Interrogé lundi matin au micro de la radio publique Kol Israël par le journaliste Arié Golan, le propriétaire du journal Haaretz, Amos Schocken, a tenté de justifier le retrait du drapeau israélien expliquant qu'il avait été installé à la demande du président Rivlin qui s'est également exprimé à la conférence.

 

Lorsque le journaliste Arié Golan a demandé à Amos Schoken si Haaretz était un journal israélien et sioniste, ce dernier a répondu par l'affirmative. Golan a alors demandé pourquoi accéder à la demande du responsable palestinien. "Pensez-vous sérieusement que Saeb Erekat aurait accepté de prononcer un discours devant un drapeau israélien ?", a-t-il répondu, estimant qu'il s'agit d'un non-événement gonflé par les autres médias israéliens.

 

Le conflit "israélo-palestinien est politique et doit rester politique. Je ne considère pas le judaïsme comme ennemi. Vous avez un partenaire pour la paix sur la base des lignes de 1967 et une capitale palestinienne Jérusalem-Est. Un jour, nous allons obtenir la solution à deux Etats, car c'est la seule solution ", a déclaré Erekat, exhortant les participants de la conférence, à "ne pas abandonner la possibilité de la paix."

 

Le ministre Zeev Elkin (Likoud) a qualifié l'incident de " honte pour tous. Erekat est un haut représentant de l'Autorité palestinienne qui pendant des années a été impliqué dans les négociations avec Israël. Son refus de s'exprimer à la conférence sur fond de drapeau israélien révèle une fois de plus que les Palestiniens ne sont pas disposés à parvenir à un accord de paix."

 

"Cet incident prouve encore une fois, que le problème que nous avons avec l'Autorité palestinienne n'est pas un différend territorial, mais c'est un problème lié à leur incapacité à reconnaître un Etat juif .Il a ajouté que cela "déshonore Haaretz, qui se définit comme un journal israélien et prêt à défendre tout droit – sauf le droit de placer le drapeau israélien sur sa scène." L'année dernière, le ministre Naftali Bennett, président du parti Bayt Hayehudi (national-religieux), avait pris la parole à la conférence alors que derrière lui figurait un drapeau palestinien.

 

 

VIE QUOTIDIENNE : VERS UNE FIN DE L’ARGENT LIQUIDE EN ISRAËL ?                                                   

Jacques Bendelac

 

Parmi les pays occidentaux, Israël fait figure de précurseur dans sa lutte contre l’argent liquide ; la fraude fiscale en est-elle la seule raison ?

 

La commission Mandelson pour « l’encouragement de l’utilisation de moyens de paiement innovants » vient de publier son rapport intérimaire : elle recommande d’accélérer l’usage de la monnaie électronique sous toutes ses formes : portefeuille électronique, paiements par carte, par internet et par mobile, etc.

 

Mise en place en mars 2014, la commission interministérielle est composée de représentants de plusieurs ministères et organismes publics concernés par le dossier de la fraude, comme : la Banque d’Israël, le Service des Impôt, la Police, l’Autorité anti-trust, l’Autorité contre le blanchiment de l’argent, le ministère de la Justice, etc.

 

La commission Mandelson fait suite à une autre commission (Locker) qui avait déjà recommandé la réduction de l’usage de l’argent liquide comme moyen de lutter contre l’économie noire et la fraude fiscale : l’an dernier, le plafonnement des paiements autorisés en argent liquide a été fixé de 10.000 shekels (2.500 euros), et il pourrait être ramené prochainement à 5.000 shekels.

 

L’usage de la monnaie électronique permettrait de remplacer la monnaie papier (billets et chèques), tout en permettant le développement de nouveaux services bancaires, innovants et sûrs pour la monnaie électronique.

 

 

Shabbat Shalom  à tous nos lecteurs!

 

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