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Communiqué:  Titre: Le néo-ottomanisme d’Erdogan: une menace globale

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DAVOS/SWITZERLAND, 27JAN06 – Recep Tayyip Erdogan, Prime Minister of Turkey captured during the session ‘The New Comparative Advantages’ at the Annual Meeting 2006 of the World Economic Forum in Davos, Switzerland, January 27, 2006. (Source:Wikipedia)

Articles Suggérés

À Sainte-Sophie, le coup de force islamique d’Erdogan

Anne Andlauer
Le Figaro, le 24 juillet 2020

 

Les tribulations de Sainte-Sophie

David Bensoussan,

Times of Israel, 26 JUILLET  2020

La Turquie menace la Grèce d’entrer en guerre
 Shraga Blum,

LPH info.com, July 9, 2020

 

APERÇU DE L’ACTUALITÉ

 

 

À Sainte-Sophie, le coup de force islamique d’Erdogan

En rappelant que l’islam avait jadis conquis la basilique de Constantinople, Erdogan, allié électoral de l’extrême droite, exalte l’identité turque et ses rêves d’empire.

Anne Andlauer

Le Figaro, 24 juillet 2020
Istanbul

Le 29 mai 1453, jour de la prise de Constantinople, le sultan Mehmet II traverse la ville à cheval jusqu’à Sainte-Sophie, où il fait prononcer la prière musulmane. Cet acte fondateur convertit en mosquée la vieille basilique byzantine. À 21 ans, le «Conquérant» accomplit le rêve de sa dynastie. Il assoit son prestige et renforce son règne, qui durera encore vingt-huit ans.
 

À quoi pense Recep Tayyip Erdogan, 567 ans plus tard, alors qu’il entre dans l’histoire de la République de Turquie comme le dirigeant qui a rendu Sainte-Sophie à l’islam? Lui qui, après dix-huit ans de pouvoir, s’est réjoui d’avoir exaucé son «plus grand rêve de jeunesse» et payé sa «dette à l’Histoire»?

L’islamo-nationalisme, ou le national -islamisme: tel est,depuis quelques années,le cheval de bataille fr Recep Tayyip Erdogan.

Les grincheux sont prévenus. Dénoncer cette décision – ils sont peu nombreux, en Turquie, à l’avoir fait ouvertement – c’est «avoir honte de la conquête d’Istanbul», un «sentiment qui ne devrait pas exister chez quiconque se dit turc et musulman», assénait le président le 14 juillet.

L’islamo-nationalisme, ou le national-islamisme: tel est, depuis quelques années, le cheval de bataille de Recep Tayyip Erdogan, dont on oublie souvent qu’il ne préside plus seul aux destinées de son pays. Pour faire voter ses lois, il dépend du soutien d’un parti d’extrême droite, le Parti d’action nationaliste (MHP). Les paroles de son chef, Devlet Bahçeli, donnent le ton de la politique intérieure et étrangère turque presque autant que celles du président.
 

Dans le discours officiel, Sainte-Sophie n’est donc pas seulement célébrée comme un édifice musulman, mais aussi comme un bien acquis, fondamentalement turc, marqueur de souveraineté. Sainte-Sophie sert à exalter cet islamo-nationalisme dont Tayyip Erdogan n’est pas, tant s’en faut, l’inventeur.

La transformation de Sainte-Sophie en mosquée est le point d’aboutissement du natio­nalisme turc.

Étienne ­Copeaux, historien spécialiste de la Turquie

«Erdogan ne personnifie pas une rupture, insiste Étienne Copeaux, historien spécialiste de la Turquie. Il est le produit d’une longue évolution qui a, dès le début, définit la nation turque comme musulmane. La transformation de Sainte-Sophie en mosquée est le point d’aboutissement du nationalisme turc.»

Certes, «jusqu’à Erdogan, les instances étatiques ne le formulaient pas ainsi», concède l’historien. «Je compare ça à une plante qui aurait grandi souterrainement pendant un siècle et arriverait au grand jour, sans complexe, avec Erdogan, en bénéficiant d’une longue durée puisque son pouvoir est celui qui a duré le plus longtemps dans l’histoire de la République

Nation et souveraineté

Autrement dit, vu de Turquie, le débat sur Sainte-Sophie s’articule moins autour des concepts d’islam et de laïcité qu’autour des notions de nation et de souveraineté. Ou plutôt, autour de l’instrumentalisation de ces notions par le pouvoir actuel à des fins électorales.

Paradoxalement, pendant les premières années de son règne, Recep Tayyip Erdogan semblait prêt à braver les tabous de l’ère républicaine – la tutelle de l’armée, les questions kurde et arménienne… Sur ces deux derniers points, il a fait demi-tour. «Sans doute s’est-il rendu compte que si on reconnaissait le génocide arménien et si on réglait à fond le problème kurde, alors il fallait remettre à plat la définition de la nation, et notamment en évacuer l’élément religieux», avance Étienne Copeaux. Alors que son régime chancelle, sans doute a-t-il aussi choisi la facilité, considérant qu’il valait mieux se placer du «bon côté» (numériquement parlant) des failles qui traversent la société – musulmane sunnite et ethniquement turque dans sa grande majorité.

Consolider sa base

«On pourrait penser qu’Erdogan a rouvert Sainte-Sophie aux prières parce qu’il a jugé qu’il était assez puissant sur la scène nationale et internationale pour le faire, commentait récemment le journaliste Rusen Çakir, l’un des meilleurs connaisseurs de l’islam politique turc. En réalité, c’est l’inverse. Erdogan agit ainsi précisément parce qu’il est faible.»

Aux sondages qui attestent l’effritement de son électorat, notamment le rejet des jeunes et le désamour d’une partie de la classe moyenne conservatrice, sont venus s’ajouter des signaux d’alerte concrets: la perte des grandes villes, dont Istanbul et Ankara, aux municipales de 2019, la crise économique aggravée par l’épidémie, et l’émergence, ces derniers mois, de deux partis nés d’une scission de sa formation, l’AKP.

 

Consolider sa base, à défaut de séduire de nouveaux électeurs, telle est la priorité du chef de l’État d’ici aux prochaines élections, programmées pour l’instant en 2023. Tous les moyens sont bons pour étouffer l’opposition et exalter l’identité nationale que le pouvoir entend incarner. Juste après la transformation de Sainte-Sophie en mosquée, l’AKP et son allié MHP ont ainsi adopté une loi qui fragilise les barreaux d’avocats, figures de la défense des vestiges de l’État de droit. Ils viennent d’en rédiger une autre qui accroît considérablement le contrôle des réseaux sociaux.

En même temps qu’il resserre l’étau sur la société turque, Recep Tayyip Erdogan multiplie les passages en force sur la scène internationale. Achat d’un système de défense antiaérienne russe, interventions militaires en Syrie et en Libye, forages gaziers et pétroliers en Méditerranée orientale… Partout où il le peut, le dirigeant s’efforce d’imposer «l’intérêt national turc» à des Européens trop divisés pour réagir et aux États-Unis qui, pour l’heure, le ménagent.

En même temps qu’il resserre l’étau sur la société turque,Recep Tayyip Erdogan multiplie les passages  en force sur la scène international.

Là encore, le contraste est frappant avec l’époque des premiers mandats de Recep Tayyip Erdogan, pendant lesquels la Turquie – en quête d’influence régionale – accordait la priorité aux initiatives diplomatiques. «Aujourd’hui, même si elle continue d’exploiter son soft power en prétendant à un rôle de leader du monde musulman sunnite, on voit clairement que la Turquie s’appuie de plus en plus sur la force militaire pour défendre ses intérêts», constate Soli Özel, professeur de relations internationales à l’université Kadir Has d’Istanbul.

Les chiffres le confirment. Le budget du ministère turc de la Défense a augmenté de 16 % cette année (un record après celui du ministère de la Santé), quand celui des Affaires étrangères baissait. Quant à l’autorité des Affaires religieuses, dont dépend désormais Sainte-Sophie, son budget a bondi de 335 % en dix ans.

Source Primaire Lien
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Les tribulations de Sainte-Sophie

David Bensoussan,

Times of Israel, 26 JUILLET  2020

 

Hagia Sophia dans l’histoire

La basilique de Sainte Sophie (Hagia Sophia, littéralement Sagesse divine) sise entre la Mosquée bleue et le palais de Topkapi à l’entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d’or, n’a rien perdu de sa magnificence. Elle fut édifiée au VIe siècle sur les ruines d’une ancienne église bâtie en 315 EC et a servi de centre spirituel à la chrétienté orthodoxe.

Elle fut transformée en mosquée après la chute de Constantinople en 1453 (les icônes chrétiennes furent alors plâtrées pour les cacher de la vue) et garda ce statut de mosquée jusqu’en 1934, date à laquelle elle devint un musée dans lequel les icônes chrétiennes côtoyaient les panneaux de calligraphie ottomane. Erdogan veut restaurer ce lieu en lieu de culte musulman.

Il y a toujours eu en Turquie un courant qui n’a jamais admis la laïcisation décrétée par Atatürk en 1923 et qui n’a pu s’exprimer dans la Turquie laïque. Lors de sa visite à Sainte-Sophie en juillet 1990, l’auteur de cet article se souvient avoir remarqué des échafaudages du côté gauche de l’entrée principale de la basilique. Cela avait tout l’air d’un travail de rénovation. Mais à y voir de plus près, les petits carrés de céramique avec une croix entourée d’un cercle étaient remplacés par des carrés de céramique avec un motif floral. Ce maquillage visait à effacer le symbole chrétien représenté par cette croix. Cela se passait avant l’époque d’Erdogan.

La seconde Rome

Des siècles durant, la basilique de Hagia Sophia était considérée comme une des principales merveilles du monde avec son dôme colossal de 30 mètres de diamètre et de 50 mètres de hauteur, ses mosaïques délicates, ses icônes en or et ses marbres lustrés. L’empereur byzantin prenait place sous l’image du Christ sur la voute, symbolisant ainsi son élection de droit divin. La basilique fut pillée par les Croisés en route pour la Terre sainte en 1204, mais se remit de cette dévastation. Après la conquête de la ville par les Ottomans, il y fut ajouté un minbar (chaire destinée aux sermons) et un mihrab (niche indiquant la direction de La Mecque. Des panneaux de calligraphie ottomane furent ajoutés. À l’extérieur, des minarets furent érigés et le sommet de la coupole centrale fut orné d’un croissant.

Ce fut la splendeur de ce joyau architectural qui conduisit à l’évangélisation des Slaves et l’adoption du christianisme orthodoxe au Xe siècle. Les émissaires du grand prince de Kiev rapportèrent alors : « Ils nous conduisirent là où ils célébraient leur Dieu et nous ne savions plus si nous étions dans les cieux pour les sermons ou sur la Terre. Il n’y a, en effet, sur terre rien d’une telle beauté. C’est là que Dieu demeure avec les hommes ! » La chute de Constantinople aux mains des Ottomans bouleversa le monde chrétien. Encore aujourd’hui, certains chrétiens orthodoxes ne fêtent rien d’important le mardi car c’est un mardi que Constantinople, cette seconde Rome, tomba aux mains des Ottomans.

Erdogan poursuit son ambition ottomane

Les agissements d’Erdogan laissent deviner des ambitions quasi califales. Il aime les parades avec des gardes habillées à l’ancienne mode ottomane. Il cherche à étendre son influence au Proche-Orient et en Méditerranée et à se positionner comme leader du monde islamique tout comme du temps ou les califes régnaient dans l’Empire ottoman. Il désire également transférer en Turquie le tombeau du fondateur de l’Empire ottoman Osman Bin Ertugrul qui se trouve en Syrie. Erdogan a savamment dissimulé son jeu en profitant de l’ouverture de la Turquie à la démocratie pour miner la démocratie et effacer l’héritage laïque d’Atatürk.

Ces dernières années, Erdogan a subi maints revers et il fait appel au nationalisme religieux des Turcs et à la souvenance de l’Empire ottoman conquérant. L’économie se porte mal et a empiré avec la pandémie de la Covid. Deux nouveaux partis d’opposition issus de son propre parti AKP se sont manifestés. Son parti islamiste a perdu les élections à Istanbul. Il n’a pas réussi à extrader son opposant Fethullah Gülen des États-Unis, ni même à éloigner les soupçons de corruption des membres de sa famille.

La revanche sur l’histoire

La victoire ottomane de 1453 en est venue à symboliser la supériorité de l’islam sur le christianisme et la prise de Constantinople est fêtée avec grand faste par la Turquie d’Erdogan. La date du 24 juillet qui a été choisie pour célébrer la prière à Hagia Sophia est l’anniversaire du traité de Lausanne qui confirma la reconnaissance de la Turquie dans ses frontières actuelles alors que l’Empire ottoman assujettissait le Proche-Orient, une partie de l’Europe orientale et de la Méditerranée méridionale. Désormais, la visite d’Hagia Sophia ne sera permise qu’en dehors de l’horaire des cinq prières quotidiennes qui s’y tiendront, heures durant lesquelles les icônes chrétiennes seront couvertes.

La Turquie compte 82 693 mosquées, dont 3113 à Istanbul. D’anciennes églises sont transformées en mosquées (Istanbul fut peuplée majoritairement de chrétiens au XIXe siècle). La mosquée Camlica érigée en 2019 est la plus grande mosquée de Turquie et l’érection d’une gigantesque mosquée à la place Taksim au centre d’Istanbul va faire partie du legs historique d’Erdogan qui veut ajouter à son tableau de chasse le titre de « libérateur » de la mosquée d’Al-Aqça à Jérusalem.

Sa déclaration visant à libérer la mosquée hiérosolymite est une remise en question de la maîtrise des lieux saints sunnites : l’Arabie saoudite est le pays qui contrôle les lieux saints de la Mecque et Médine. L’ancienne dynastie qui précéda la dynastie saoudienne règne en Jordanie et est responsable du mont du Temple à Jérusalem où se trouvent le dôme du rocher et la mosquée d’Al-Aqsa.

En 1916, les Ottomans ont été chassés d’Arabie non sans avoir causé des destructions majeures à la Mecque. L’Angleterre joua un rôle important dans le démantèlement de l’Empire ottoman par l’intermédiaire de Laurence d’Arabie. Erdogan n’a jamais admis cette réalité. Il est opposé tant à l’Occident qu’au symbole de la croix représentée par l’Angleterre et plus encore par la domination des lieux saints musulmans (sous contrôle ottoman depuis le XVIe siècle) par des dynasties sunnites d’Arabie. Il veut prendre sa revanche sur l’histoire. Il vit en 1917.

Les réactions internationales

Au plan international, la réaction a été une déception et de condamnation. Bien des médias arabes ont réagi négativement à la transformation d’Hagia Sophia en mosquée visant à plaire aux groupements extrémistes islamistes, dont les Frères musulmans. L’UNESCO a condamné cette initiative prise sans coordination. Le pape s’est déclaré très affligé et les chefs de l’Église orthodoxe grecque et russe l’ont également désapprouvée. Le Patriarche de Constantinople a déclaré que le changement de statut d’Hagia Sophia risque de déclencher l’animosité des millions de chrétiens contre l’islam. Pour le gouvernement grec, il s’agit d’une provocation envers le monde civilisé et la ministre de la Culture grecque déplore le nationalisme d’Erdogan qui ramène son pays six siècles en arrière.

La leçon d’Isaïe

Bien des lieux saints ont changé de mains au cours de l’histoire. Ainsi, la Mezquita de Cordoue qui fut une église visigothe bâtie en 572 et convertie en mosquée en 784 puis en église en 1236. Le mont du Temple à Jérusalem fut l’emplacement du Premier Temple de Salomon (de 930 à 556 avant l’ère courante, puis du Second Temple (de 516 AEC à 70 EC), servit de temple païen sous l’empereur Hadrien et fut délaissé lorsque l’Empire romain adopta le christianisme. Après la conquête arabe, la mosquée d’Omar y fut bâtie en 637. Pendant les Croisades, le dôme du Richer fut transformé en Templum domini et la mosquée d’Al-Aqça fut remise aux Templiers. En 1187, ces deux édifices reprirent leur statut de mosquée.

Ben que la ville de Jérusalem soit sous juridiction israélienne depuis 1967, l’administration du mont du Temple a continué d’être confiée au Waqf jordanien. Des travaux au bulldozer dans l’enceinte du mont du Temple sont effectués sous prétexte d’agrandir la mosquée, mais il s’agit avant tout d’effacer toute trace du Temple israélite. Le Waqf limite l’accès au mont du Temple et cherche à monter en épingle toute mesure relative à la sécurité et à l’accès au mont du Temple aux non-musulmans. Les Juifs ne sont pas autorisés à y prier. Le mur des Lamentations (mur occidental du mont du Temple) est le lieu de recueillement des juifs.

Et pourtant, le monde serait bien avisé de pondérer les paroles du prophète Isaïe à propos du Temple de Jérusalem qui pourrait s’appliquer à l’ensemble des lieux saints : « Ma Maison sera une maison de prières pour toutes les nations (Isaïe 56-7 ). »

Source Primaire Lien

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La Turquie menace la Grèce d’entrer en guerre
Shraga Blum,
LPH info.com, July 9, 2020

La Turquie du dictateur islamique Recep Erdogan poursuit ses provocations et menace désormais la Grèce d’entrer en guerre! Mesut Hakkı Caşin, un proche conseiller du président turc a averti Athènes qu’un arraisonnement d’un bateau de forage turc qui évoluerait dans les eaux territoriales crétoises sera considéré comme un casus belli. Les autorité grecques ont en effet annoncé que leur marine barrera la route de force à tout bâtiment turc qui prospectera pour du gaz et du pétrole dans cette zone proche de la Grèce.

Les îles de Crète se trouvent à une centaine de kilomètres de la pointe sud de la Grèce mais également à équidistance entre la Turquie et la Libye. Or, en violation flagrante du droit maritime et avec une insolence sans nom, Recep Erdogan avait signé un accord avec le dirigeant islamiste libyen Fayez Al Sarraj s’arrogant toute la partie de la Méditerranée reliant les deux pays, donc ce que renferment les fonds marins, faisant fi des droits des autres pays de la Méditerranée orientale : la Grèce, Chypre et l’Egypte.

Source Primaire Lien

APERÇU DE L’ACTUALITÉ

 

Israël: “l’homosexualité est presque inexistante dans la société arabe” (député Liste arabe unifiée)

i24NEWS, 26 juillet 2020

 

Les partis arabes sont divisés sur le soutien au projet de loi interdisant les thérapies de conversion

Un député de la Liste arabe unifiée, Walid Taha, a estimé dimanche que le soutien du chef de l’alliance des partis arabes, Ayman Odeh, au projet de loi interdisant les thérapies de conversion pour les homosexuels était “particulièrement problématique”, affirmant que cela allait à l’encontre des opinions de “la grande majorité des gens qui l’ont élu”.

Israël: spectacle historique à Ben Gourion, des montgolfières décollent des pistes désertes de l’aéroport

i24NEWS

25 juillet 2020

Pour la première fois en Israël, l’envol de montgolfières a été exceptionnellement autorisé samedi matin dans l’espace aérien au-dessus de l’aéroport Ben Gourion, désert depuis des mois en raison de la crise du coronavirus.

Avec des dizaines de milliers de vols par an, les inspecteurs de la tour de contrôle n’ont certainement pas besoin d’engins volants supplémentaires dans leur champ de vision. 

Pour la pérennité de Sion et de Jérusalem : Réflexions autour du jeûne du 9 av

 

Maurice Ruben-Hayoun

28 juillet 2020

Cette phrase qui me sert de titre m’a été soufflée par un éminent collègue suisse qui a marqué de son bel enseignement les études juives de ce XXe siècle, si dur et si dramatique pour les Juifs du continent européen.

Sion et Jérusalem, voiles deux noms qui marquent notre défaite dans l’Histoire mais aussi les symboles de notre renouveau. Il est rare que je m’implique à la place d’une recherche historique mais dans ce cas précis, c’est le souvenir que nous commémorons et qui a défini, deux millénaires durant, notre vie ou plutôt notre survie.

 

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