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Communique: 5781 est mort, vive 5782! Rétrospective de l’année qui s’achève

Extrait de Sept années à Jérusalem pp. 134-135 (Julien Bauer, 2012, Éditions du Marais)

Périscope N° 38 : Un nouveau Moyen-Orient (Philippe Gélie – Le Figaro)

Semaine décisive en Israël avec une coalition anti-Nétanyahou aux portes du pouvoir

Israël et le Maroc normalisent leurs relations diplomatiques (D. Trump),

i24NEWS,

Naftali Bennett rencontre Joe Biden à la Maison Blanche

i24NEWS, 27 août 2021,

D’Israël-Abraham Bourla au PDG de Pfizer, “Albert Bourla”

1 mars 2021 Tribune Juive

 


Extrait de Sept années à Jérusalem pp. 134-135 (Julien Bauer, 2012, Éditions du Marais)

La situation change avant Roch Hachana, le Nouvel An. La tradition est de manger, lors du soir de Roch Hachana, un poisson, symbole de fertilité, servi avec sa tête, « pour que nous soyons à la tête et non pas à la queue ».

 À l’occasion de la nouvelle année, les poissonniers vendent des carpes vivantes, gardées dans des aquariums. Il y avait énormément de monde à la devanture de la poissonnerie. Quand c’est notre tour, je demande une carpe. Le commerçant me sort un véritable Léviathan, assez pour nourrir non pas une famille, mais un régiment. Je précise que je souhaite un poisson plus petit, mais en vain, les autres étaient eux aussi beaucoup trop gros. Le poissonnier me dit alors de trouver ma carpe. Imaginez la scène : un homme d’un certain âge, moi, met les mains dans l’aquarium plein de carpes. Ces poissons ont la fâcheuse habitude d’être gluants et de glisser des mains. Le spectacle devait être intéressant et les spectateurs ont commencé à parier qui l’emporterait de la carpe ou de l’homme. Finalement, après un combat aquatique épique, l’homme a triomphé et j’ai pu sortir une carpe, deux fois plus grosse que ce que je souhaitais, mais moins de la moitié de ce que le commerçant m’avait trouvé. Je n’ai pas répété l’expérience. 

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Accords Abraham

Periscope n 38 nouveau moyen orient philippe gelie figaro

LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS – Un regard à 360° sur la scène internationale, par Philippe Gélie.

Reconnaissons-le : bien peu d’experts, de diplomates et de commentateurs pariaient sur un succès de la diplomatie « transactionnelle » déployée par Donald Trump lorsqu’il était à la Maison-Blanche. Aujourd’hui pourtant, l’équipe de Joe Biden passe en revue ses options au Moyen-Orient sur la base des changements positifs amorcés par la précédente Administration.

Un nouveau Moyen-Orient

Les Accords d’Abraham. La « normalisation » signée en août 2020 entre Israël et les Émirats arabes unis (EAU), puis en septembre avec Bahreïn, avait été accueillie comme un épiphénomène à l’échelle de la région, un « cadeau préélectoral » de ses amis arabes et israéliens au président en fin de mandat, et comme le fruit atrophié d’une diplomatie borgne, reposant sur le parti pris et le donnant-donnant. Mais le Moyen-Orient n’est pas avare en démentis. Les deux petites monarchies du Golfe ont bientôt été imitées par d’autres : le Soudan (en échange d’un prêt d’un milliard de dollars et de son retrait de la liste des États sponsors du terrorisme) et le Maroc (en contrepartie de la reconnaissance par les États-Unis de sa souveraineté sur le Sahara Occidental). Si l’Arabie saoudite finissait par leur emboîter le pas, comme beaucoup le supputent, cela signerait un basculement historique de tout le Moyen-Orient.

Adhésion populaire. La seconde surprise, plus essentielle, vient de l’engouement inattendu des populations pour ce rapprochement. Pas moins de 130.000 Israéliens – touristes et businessmen – se sont déjà rendus à Dubaï et Abou Dhabi depuis octobre. Les cours d’hébreu y seraient pris d’assaut par des Émiratis empressés de nouer des relations d’affaires en Israël. Les restaurants cacher poussent comme des champignons et deviennent la nouvelle tendance à la mode… Réciproquement, les délégations arabes sont accueillies avec tous les égards, quasiment « comme des cousins », dans l’État hébreu. Les observateurs ébaubis parlent d’une « paix chaude », contrastant avec les accords de « paix froide » conclus en 1979 avec l’Égypte et en 1994 avec la Jordanie.

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Semaine décisive en Israël avec une coalition anti-Nétanyahou aux portes du pouvoir

Israël s’approchait jeudi de la fin d’une époque après la formation in extremis d’une coalition hétéroclite qui pourrait dès les prochains jours évincer du pouvoir Benjamin Nétanyahou, premier ministre le plus longtemps en fonction de l’histoire du pays.

Cette coalition inédite est composée de huit partis – deux de gauche, deux du centre, trois de droite et une formation arabe – que tout oppose si ce n’est la volonté d’écarter M. Nétanyahou du pouvoir.

Le vote de confiance du Parlement à l’équipe gouvernementale doit intervenir dans un délai d’une semaine, mais M. Nétanyahou a commencé dès jeudi à multiplier les tentatives de déstabilisation, espérant des défections de dernière minute.

«Tous les députés élus grâce au soutien de la droite doivent s’opposer à ce dangereux gouvernement de gauche», a-t-il «tweeté» dans la matinée, rompant son silence depuis la proclamation de l’accord de coalition.

Sur son compte Twitter personnel, le chef du Likoud, parti de M. Nétanyahou, a de son côté appelé ses anciens alliés de droite à «retirer maintenant» leur signature.

Le soutien du chef du parti de droite radicale Yamina et ancien allié du premier ministre, Naftali Bennett, a été crucial pour la formation de la coalition anti-Nétanyahou.

61 députés sur 120

Les tractations ayant conduit à cet accord ont duré plusieurs jours, sur fond de rumeurs, de pressions et de tensions. La nouvelle est tombée à 23h25 mercredi, quelques dizaines de minutes avant l’expiration du délai: Yaïr Lapid, chef de la formation centriste Yesh Atid, a annoncé avoir «réussi à former un gouvernement».

Avec le soutien de 61 députés (sur 120), cet accord doit mettre un terme à deux ans de crise politique marquée par quatre élections et aucun gouvernement stable.

De cette crise, les Israéliens sont sortis polarisés, entre ceux qui voient dans cette alliance détonnante une «trahison» des idées de la droite aussi bien que de la gauche et ceux qui sont soulagés de voir l’indéboulonnable premier ministre sur le départ après plus de 10 ans au pouvoir sans interruption.

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Israël et le Maroc normalisent leurs relations diplomatiques (D. Trump),

i24NEWS,

Les États-Unis reconnaîtront en retour la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental

Le président américain Donald Trump a annoncé jeudi dans un tweet qu’Israël et le Maroc avaient convenu de normaliser leurs relations diplomatiques.

“Une autre percée historique aujourd’hui – nos deux grands amis Israël et le Royaume du Maroc ont convenu d’établir des relations diplomatiques complètes. C’est une formidable avancée pour la paix au Moyen-Orient”, a-t-il écrit. 

Il a déclaré que les États-Unis reconnaîtraient en retour la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental.

Le Maroc a confirmé “reprendre” des “relations diplomatiques” avec Israël.

L’accord serait en pourparlers depuis environ deux ans, mais il s’est concrétisé ces derniers mois, notamment grâce au conseiller et gendre de Donald Trump Jared Kushner et l’envoyé spécial Avi Berkowitz.

Selon certains rapports, Jared Kushner a déclaré que Rabat ouvrira “immédiatement” un bureau à Tel Aviv et qu’Israël et le Maroc autoriseront des vols directs entre les deux pays.

“Ils vont rouvrir immédiatement des bureaux à Rabat et Tel Aviv et ont l’intention d’ouvrir aussi des ambassades. Ils pourront ainsi promouvoir la coopération économique entre les entreprises israéliennes et marocaines”, a-t-il déclaré.

“À travers cette étape historique, le Maroc s’appuie sur son lien de longue date avec la communauté juive marocaine vivant au Maroc et dans le monde, y compris en Israël,” a-t-il ajouté.

En outre, une reconnaissance d’Israël par l’Arabie saoudite est “inéluctable”, a jugé mardi Jared Kushner.

“Un rapprochement entre Israël et l’Arabie saoudite et une pleine normalisation sont à ce stade inéluctables mais le calendrier doit encore être défini”, a estimé M. Kushner auprès de journalistes. 

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Naftali Bennett rencontre Joe Biden à la Maison Blanche

i24NEWS, 27 août 2021,

“Les terroristes aux frontières d’Israël veulent nous tuer et anéantir l’État juif”

Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a rencontré vendredi le président américain Joe Biden à la Maison Blanche lors de sa visite officielle aux Etats-Unis.

Les deux hommes se sont entretenus pendant 50 minutes, notamment au sujet de la menace iranienne, avant de donner une conférence de presse conjointe.

Le président américain Joe Biden a déclaré au Premier ministre Naftali Bennett qu’il préférait la voie diplomatique pour empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire, ajoutant que les États-Unis étaient toutefois “disposés à envisager d’autres options” pour s’assurer que l’Iran n’obtienne jamais la bombe nucléaire.

Le président américain a également assuré au Premier ministre qu'”ils étaient devenus des amis proches”.

“Naftali Bennett dirige le gouvernement le plus divers de l’histoire d’Israël”, a-t-il dit, précisant “nous prenons en compte les conseils que vous nous avez donnés concernant l’injection de la troisième dose de vaccin contre le coronavirus et nous commencerons en septembre”.

Joe Biden a également abordé la question sécuritaire déclarant qu’il “soutiendrait pleinement le réapprovisionnement du Dôme de fer anti-missile en Israël”.

Naftali Bennett a tout d’abord présenté ses condoléances au président après l’attentat-suicide de Kaboul jeudi qui a fait plus de 100 morts dont 13 soldats américains.

Il a ensuite remercié le président pour le soutien indéfectible des Etats-Unis envers Israël: “vous nous avez toujours défendus, surtout dans les moments difficiles”, a déclaré Naftali Bennett, “Israël sait que nous n’avons pas de meilleur allié dans le monde que les Etats-Unis d’Amérique.”

“Les terroristes aux frontières d’Israël veulent nous tuer et anéantir l’État juif. C’est pourquoi Israël doit toujours être plus fort que tous ses ennemis réunis”, a-t-il dit.

Concernant l’Iran, Naftali Bennett a déclaré qu’il s’agit du “premier exportateur mondial de terrorisme, d’instabilité et de violations des droits humains. Et pendant que nous sommes assis ici en ce moment, les Iraniens font tourner leurs centrifugeuses… Nous devons les arrêter”.

N. Bennett a toutefois assuré à Joe Biden qu’il ne demandera jamais aux Etats-Unis d’envoyer des troupes pour défendre Israël. “C’est notre travail. Nous n’externaliserons jamais la sécurité de notre pays”, a-t-il conclu.

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D’Israël-Abraham Bourla au PDG de Pfizer, “Albert Bourla”

1 mars 2021 Tribune Juive

Il y plus de 80 ans , en Grèce soixante mille Juifs vivaient paisiblement à Thessalonique. C’était une communauté appréciée et dynamique.
La plupart de ces Juifs travaillaient dans le port.
Au point que port de Thessalonique était même fermé le samedi jour du shabbat où la religion interdit de travailler.
De grands rabbins émérites y vivaient également et étudiaient. Tout le monde se côtoyait et s’appréciait.
Mais le 2 Septembre 1939  à la veille du déclenchement de la seconde guerre mondiale C’est sur cette glorieuse communauté que la terreur nazie va brutalement s’élever.
Le 6 Avril 1941  Hitler envahit la Grèce afin de sécuriser son front sud avant de lancer la célèbre opération Barbarossa et sa grande offensive contre la Russie.
Sur les 60 000 Juifs de Thessalonique, environ 50 000 vont être exterminés au camp de concentration de Birkenau en un triste temps record !
Le massacre des Juifs de Grèce fut bref mais intense. Très peu vont avoir la chance de s’en sortir. Mais parmi les survivants, il y avait une famille connue sous le nom de Bourla.
Et à près la guerre, en 1961, un fils est né dans cette famille miraculée des camps. Ses parents l’ont appelé Israël – Abraham. Il a grandi et a étudié la médecine vétérinaire en Grèce. Étudiant brillant, Abraham va décrocher son doctorat en biotechnologie de la reproduction à l’école vétérinaire de l’université Aristote de Salonique.
À l’âge de 34 ans, il décide de partir s’installer aux États-Unis.
Il change son prénom Abraham en Albert et fait la connaissance d’une femme juive nommée Myriam puis l’épouse.
Ensemble ils auront deux enfants.
Aux États-Unis, Albert a été intégré dans l’industrie médicale.
Il progresse très rapidement et rejoint une société pharmaceutique où il devient “Head manager“.

De là, la route est courte pour que le petit Abraham (Albert) gravisse les échelons et obtienne sa nomination au poste de PDG de cette société en 2019.
Tout au long de l’année Albert décide de diriger tous les efforts de l’entreprise pour tenter de trouver un vaccin contre un nouveau virus qui vient de frapper le monde. Il déploie de grands efforts financiers et technologiques pour atteindre son but.
Un an plus tard son travail paye: l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) valide l’autorisation à son entreprise de produire le vaccin tant attendu…
Son vaccin sera distribué dans plusieurs pays dont l’Allemagne, qui dénombre des milliers de morts à cause de la pandémie.

Ironie du sort: ce vaccin qui va sauver la vie de millions de personnes dans le monde -dont de nombreux Allemands- a été dirigé et poussé par un petit Juif de Thessalonique fils de survivants de la Shoah dont la plus grande partie de son peuple a été exterminé par l’Allemagne nazie.

Et c’est pourquoi Israël est devenu le premier pays à recevoir le vaccin. En mémoire  de ses grands-parents et de ses parents qui ont fait naître Israël-Abraham Bourla connu aujourd’hui sous le nom d’Albert Bourla : PDG de Pfizer !

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