Friday, May 10, 2024
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Communiqué: Financement des ONG liées aux organisations terroristes: Le double-jeu de l’Union européenne

Citation de la semaine
« La fourberie ne se voit jamais de face qu’à l’oeuvre » 

Othello – William Shakespeare


l’Europe finance les frères musulmans par bêtise

Quand l’Union européenne insiste pour subventionner des soutiens au terrorisme palestinien

Yves Mamou

Terroristes en costumes Liens entre les ONG qui font la promotion du BDS et les organisations terroristes

 

Aperçu de l’actualité


l’Europe finance les frères musulmans par bêtise

L’influence des Frères musulmans en Europe mise à nu

Un rapport autrichien indique que les contribuables financent involontairement le groupe, qui entretient des liens étroits avec la Turquie.

Les Frères musulmans ont établi une vaste influence en Europe et les organismes publics financent involontairement leurs activités, estiment les experts. Bien qu’ils ne comptent que quelques centaines de personnalités de haut rang en Europe, les militants des Frères musulmans ont cherché à se présenter comme des représentants de l’ensemble de la communauté musulmane, selon un important rapport sur le groupe.

Cela signifie que les gouvernements se tournent souvent vers eux pour des programmes de sensibilisation, ce qui entraîne des dépenses publiques bien intentionnées qui se retrouvent dans la Fraternité et ses affiliés. Fondée en Égypte dans les années 1920, la Fraternité est classée comme groupe terroriste dans plusieurs pays arabes, mais entretient des liens étroits avec la Turquie. Sa présence en Europe remonterait aux années 1960.

Le rapport, publié en Autriche, indique que le groupe a une position ambiguë sur la violence et promeut un discours « nous contre eux » qui fournit un « environnement propice à la radicalisation ». L’Autriche a adopté une ligne dure contre ce qu’elle qualifie d’islam politique, d’autant plus qu’un attentat terroriste à Vienne a fait quatre morts en novembre dernier.

Le rapport a été rédigé par des analystes du Centre autrichien de documentation sur l’islam politique. Il a été créé l’année dernière par la ministre de l’Intégration Susanne Raab et a produit une « carte de l’islam » controversée en juin. Mme Raab a salué son travail lors des discussions avec ses collègues européens jeudi, au cours desquelles elle a déclaré que les pays de l’UE devraient travailler plus étroitement pour lutter contre l’extrémisme.

« L’islamisme et le terrorisme ne commencent pas seulement lorsqu’ils deviennent violents, mais bien plus tôt », a déclaré Mme Raab lors du sommet de Vienne. « L’islamisme ne s’arrête pas aux frontières… nous devons renforcer notre coopération pour réussir. » Lisa Fellhofer, responsable du centre de documentation, a déclaré que l’influence des Frères musulmans en Europe « transcende beaucoup les frontières ».

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Quand l’Union européenne insiste pour subventionner des soutiens au terrorisme palestinien

Sven Kühn von Burgsdorff a le profil du gendre idéal : grand, blond, athlétique, ce haut fonctionnaire de l’Union Européenne a donné satisfaction dans tous les postes à responsabilité qu’il a occupé au Mozambique, en Slovaquie, à Cuba ou même à Haïti. Mais le Moyen Orient, si riche en tensions de toutes sortes, pourrait lui être fatal. Sven Kühn von Burgsdorff qui occupe aujourd’hui les fonctions de chef de mission de l’Union européenne auprès de la Cisjordanie et de la bande de Gaza a, le 30 mars dernier, affirmé par écrit à tout un chapelet d’organisations palestiniennes que oui, il est vrai que l’Union européenne ne saurait financer le terrorisme fut-il palestinien, mais enfin, parfois, quand même, dans certains cas, si l’on réfléchit bien, il ne serait pas exclu que des individus au parcours atypique et proches de certaines organisations comme BDS (Boycott Désinvestissement Sanction) ou le FPLP (Front populaire de libération de la Palestine) puissent bénéficier de la manne européenne. 

Généreuse UE

« Alors que les entités et les groupes inclus dans les listes restrictives de l’UE ne peuvent pas bénéficier d’activités financées par l’UE, il est admis qu’un individu affilié à, sympathisant de, ou soutenant des groupes mentionnés dans des listes restrictives de l’UE n’est pas exclu [d’emblée] des activités financées par l’UE, à moins que son nom et prénom précis… soient répertoriés dans les listes restrictives de l’UE », précise la lettre de Sven Kühn von Burgsdorff. C’est ainsi qu’un « chercheur » proche du Hamas a été récemment richement doté par l’Union européenne!

Par malchance pour Sven Kühn von Burgsdorff, cette lettre adressée au Réseau palestinien des ONG, une fédération basée à Ramallah qui regroupe pas moins de 130 ONG palestiniennes, a fuité presque immédiatement dans les médias israéliens. La radio de l’armée israélienne a été la première à avoir évoqué le nom de Sven Kühn von Burgsdorff, suivie du Times of Israël, puis du Jérusalem Post et de tous les autres médias israéliens. La diplomatie israélienne a immédiatement convoqué l’ambassadeur de l’UE en Israël, Emanuele Giaufret, pour lui faire part de son plus vif mécontentement. L’ambassadeur a dû aussi entendre les reproches de la vice-directrice générale du ministère pour l’Europe, Anna Azari.

Les Israéliens dénoncent une duplicité

Le ministère israélien des Affaires stratégiques, en charge de la lutte contre BDS, ne s’est pas privé de fustiger la duplicité de l’UE. Bref, l’Union européenne, prise en flagrant délit de double discours, va devoir clarifier ses positions. Oui ou non, l’UE va-t-elle rompre avec ses complaisances d’antan envers certaines organisations palestiniennes s’adonnant au terrorisme ? 

Depuis 2017, l’affaire semblait entendue : l’Union européenne ne financerait pas/plus le terrorisme, fut-il palestinien. En mai 2017, le Parlement européen avait voté une résolution demandant instamment aux responsables de l’UE de « veiller à ce qu’aucun financement de l’UE ne puisse être directement ou indirectement détourné vers des organisations ou des activités terroristes qui incitent à ces actes ». 

En 2019, dans chaque contrat passé avec une ONG, l’Union européenne a ajouté une clause dite de contre-terrorisme, qui engage l’ONG bénéficiaire de fonds européens à ne pas s’associer au mouvement BDS (Boycott Désinvestissement Sanction), ni à d’autres organisations terroristes comme le Hamas ou le FPLP (Front populaire de libération de la Palestine, fondé par Georges Habache, une organisation qui est sur la liste des organisations terroristes de l’Union européenne, des États-Unis, du Canada et d’Israël).

Cette clause avait déplu. Le 1er janvier 2020, plus d’une centaine d’ONG palestiniennes, dont la plupart soutenaient le BDS et dont certaines avaient un lien avec le FPLP, ont bruyamment fait savoir qu’elles renonçaient à demander des subventions à l’Union européenne. Cette manifestation de colère des ONG palestiniennes a reçu le soutien officiel de l’Autorité Palestinienne. Mais, au moins en apparence, l’UE a campé ferme sur ses orientations : l’argent du contribuable européen ne financerait plus le terrorisme. 

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Terroristes en costumes Liens entre les ONG qui font la promotion du BDS et les organisations terroristes Rapport No. 1:
Comment les terroristes sont-ils parvenus à occuper des postes clés dans les ONG qui font la promotion de la campagne de Boycott, de Désinvestissement et de Sanctions (BDS) contre l’État d’Israël ? Comment, par l’intermédiaire de ces ONG, exploitent-ils le financement gouvernemental occidental, les fondations philanthropiques, les plateformes financières et la société civile pour promouvoir leur objectif idéologique : l’élimination de l’État d’Israël en tant que démocratie et État-Nation du peuple juif ?
4. Un regroupement d’informations révèle que cela constitue une méthode de fonctionnement préméditée, cordonnée et organisée, basée sur la volonté des organisations terroristes qui cherchent à “blanchir” leur doctrine et leur objectif d’éliminer l’État d’Israël. Ces tactiques sont mises en œuvre à travers les ONG, notamment au sein de l’Autorité Palestinienne, en Grande Bretagne et aux États-Unis d’Amérique. Celles-ci se font passer comme des ONG légitimes dont l’objectif est de promouvoir les droits de l’homme. 5. Cette méthode constitue une autre évolution des tactiques guerrières employées par les organisations terroristes pour attaquer l’État d’Israël, en exploitant les valeurs occidentales. Ces ONG se sont rendues compte que de nos jours, la société civile dispose d’une grande capacité d’influencer les gouvernements démocratiques. Selon eux, l’adoption de méthodes d’action légitimes est le moyen d’attirer la sympathie du public. Par conséquent, ces organisations terroristes ont adopté une nouvelle approche, sur la base de laquelle elles mènent une campagne contre Israël dans l’opinion publique et sur le plan juridique tout en exploitant de manière cynique et délibérée les ONG de défense des droits de l’homme perçues comme légitimes dans les pays occidentaux. De notre point de vue, les organisations terroristes pensent qu’en employant ces méthodes, elles réussiront à convaincre la société civile pour pousser leurs gouvernements à faire pression sur Israël dans le but de réduire sa liberté d’action militaire et économique. 6. De plus, aux yeux de ces organisations terroristes, l’établissement de liens avec la société civile en Occident offre la possibilité de recevoir une aide financière qu’elles ne pourraient recevoir autrement en raison des sanctions imposées par les pays occidentaux. Dans ce contexte, il convient de noter qu’au cours des dernières années, l’Agence israélienne de sécurité a démontré que le Hamas a utilisé les organisations d’aide internationale opérant dans la Bande Gaza pour recevoir des fonds destinés à l’aide humanitaire. 7. Ce rapport examine les liens financiers et matériels entre les organisations terroristes et les ONG qui encouragent la délégitimation et les campagnes de boycott. Ces liens fonctionnent dans les deux sens. Ainsi, les agents des organisations terroristes aident les ONG dans leurs efforts de collecte de fonds et le partage des ressources humaines pour la promotion commune de campagnes publiques, conventions, délégations et événements. 8. En outre, certaines ONG ayant des relations avec ces organisations terroristes ont reçu des financements des pays européens et des institutions de l’Union Européenne dans le passé et jusqu’à nos jours. Ces ONG reçoivent également des fonds destinés à l’aide humanitaire par les gouvernements occidentaux (financement gouvernemental indirect) et par des fondations philanthropiques privées. De notre point de vue, à la lumière des liens qui existent entre les organisations terroristes et ces ONG, il y a lieu de s’inquiéter que des financements privés et publics soient transférés à des organisations terroristes, directement ou indirectement. 9. Le Ministère des affaires stratégiques et de l’information entend poursuivre l’étude jusqu’en 2019 et a l’intention de publier un rapport supplémentaire en 2019 qui examinera le financement direct ou indirect des gouvernements, le soutien des organisations internationales de secours et les fondations philanthropiques privées aux ONG en question et d’autres ONG ayant des liens avec les groupes terroristes. Cette étude fera suite à une étude récemment publiée sur l’aide octroyée par les institutions de l’Union Européenne à ces ONG estimée à des millions d’euros chaque année.
Recommandations
1. Le Hamas et le FPLP mènent diverses activités dans des pays occidentaux pour promouvoir un programme radical à travers les ONG de la société civile. De notre point de vue, une partie de ces fonds de secours, de ces aides des gouvernements et dons philanthropiques aux ONG palestiniennes, britanniques et américaines est transférée aux activités d’organisations terroristes reconnues. Le présent rapport soulève la préoccupation que certains financements gouvernementaux et philanthropiques accordés à des ONG européennes, palestiniennes et américaines puissent être utilisés, directement ou indirectement, pour soutenir les activités d’organisations terroristes. Il s’agit là d’une préoccupation importante, notamment en raison du manque de transparence de certaines ONG, en particulier les ONG palestiniennes, dans l’utilisation des fonds qui leur sont accordés. 2. Par conséquent, l’État d’Israël demande aux pays occidentaux, organismes d’aide internationale, fondations privées philanthropiques, institutions financières et bancaires mondiales, de financement dans le monde a. D’examiner les activités des ONG œuvrant dans la promotion de l’agenda radical des organisations terroristes reconnues et de s’assurer qu’aucune relation, directe ou indirecte, n’existe entre elles et lesdites organisations terroristes telles que le Hamas et le FPLP. b. De mettre fin immédiatement à toute aide financière accordée à des ONG ayant des liens avec de telles organisations terroristes et de procéder à de plus amples vérifications afin de s’assurer que les fonds accordés dans le passé n’étaient pas transférés aux groupes terroristes reconnus conformément aux conventions et législation pour la prévention du financement du terrorisme.

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  Nous recommandons surtout les pages 4 à 7

Aperçu de l’actualité

i24NEWS,01 novembre 2021

Lors de sa prise de parole à l’occasion du sommet de l’ONU sur le climat de la COP26, le Premier ministre israélien Naftali Bennett a affirmé qu’Israël se trouvait “au début d’une révolution concernant le changement climatique”.


L’ambassadeur israélien auprès de l’ONU déchire le rapport du Conseil des droits de l’homme, “un parti pris anti-israélien obsessionnel”

i24NEWS, 30 octobre 2021

L’ambassadeur d’Israël auprès des Nations Unies, Gilad Erdan, a fustigé vendredi le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (UNHRC) pour ses “accusations disproportionnées” contre Israël, déchirant le rapport annuel de l’organisation lors de son allocution à la tribune de l’Assemblée générale.

i24NEWS, 31 octobre 2021

L’homme d’affaires israélo-canadien Sylvan Adams était l’invité ce dimanche soir du “Prime” sur i24NEWS.

Interrogé par Jean-Charles Banoun, ce milliardaire et philanthrope passionné de sports s’est exprimé sur plusieurs projets et actions dans lesquels il s’est récemment impliqué.

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