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Ami, ennemi, qui sait?

 

 

 

   

             

ISRAËL: ATTAQUE AU COUTEAU À ROSH HA'AYIN,

UNE ISRAÉLIENNE BLESSE

I24, 3 apr., 2016

 

Une Israélienne de 28 ans a été légèrement blessée dans une attaque au couteau perpétrée dimanche dans la ville de Rosh Ha'ayin (centre), par une Arabe israélienne qui a été rapidement arrêtée par les forces de l'ordre. La victime a été prise en charge par les services médicaux et transférée à l'hôpital Beilinson de Petah Tikva. L'assaillante a été appréhendée sur les lieux par un garde de sécurité qui l'a mise au sol, avant de la désarmer de son couteau, et de sortir une seconde arme blanche de son sac.

 

 

 

UN DEPUTE ARABE SE DIT “HONTEUX” QU’ABBAS DISE

QUE L’AP STOPPERAIT LES ATTAQUES                

      Dov Lieber                                                                                                 

Times of Israel, ., 2016

 

 

e député Basel Ghattas, de la Liste arabe unie, a déclaré qu’il avait honte que le président de l’Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas dise pendant un entretien à la télévision israélienne qu’il était opposé aux attaques au couteau menées contre les Israéliens.

 

Pendant un entretien franc dans l’émission Uvda de la Deuxième chaîne diffusée jeudi denier, Abbas avait déclaré qu’il voulait toujours faire la paix avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu et qu’il était opposé aux attaques actuelles contre les Israéliens, qui ont commencé il y a environ six mois.

 

« Je me sens très honteux, a déclaré Ghattas, en écoutant Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, le président de l’OLP [Organisation de libération de la Palestine] et successeur de Yasser Arafat, parler avec [la journaliste israélienne] Ilana Dayan et supplier Benjamin Netanyahu pour une semaine de contrôle sécuritaire dans la zone A, afin de montrer qu’il peut être le gardien. »

 

Pendant l’entretien, Abbas a demandé à Netanyahu de lui donner tout le contrôle sécuritaire sur les territoires de la zone A de Cisjordanie, « même pour une semaine », pour tester si les Palestiniens pouvaient effectivement se protéger eux-mêmes et les civils israéliens contre le terrorisme. La majorité des Palestiniens vivent dans la zone A de Cisjordanie, qui est supposée être sous contrôle complet de l’AP selon les accords passés avec Israël.

 

Ghattas, qui purge une suspension de trois mois de la Knesset pour avoir observé une minute de silence en rencontrant des familles de terroristes palestiniens tués en février dernier, a fait ces remarques au site d’informations londonien al-Quds al-Arabi.

 

Le député a suggéré que le dirigeant palestinien avait été mal conseillé pour améliorer son image devant les Israéliens, en échange de l’approbation de certains journalistes. Ghattas n’est pas opposé à faire directement appel aux Israéliens, a-t-il déclaré, mais à l’admission apparente d’Abbas que les attaques palestiniennes sont du terrorisme non justifié, au point de dire qu’Israël devrait laisser l’AP arrêter les hommes recherchés.

 

 

 

                   LE SERVICE DE RENSEIGNEMENT ALLEMAND BND

                                        A ESPIONNE ISRAËL

                                          Times of Israel, 21 mars., 2016    

 

 

Le service fédéral de renseignement allemand (BND) a espionné le bureau du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou au cours de ces dernières années, a rapporté samedi le quotidien allemand Der Spiegel. Selon le journal, les ministères de l'Intérieur de la Belgique et de l'Autriche, le ministère britannique de la Défense, le Fonds monétaire international (FMI) et l'Administration nationale américaine de l'aéronautique et de l'espace (NASA), figurent également parmi les cibles des écoutes allemandes.

 

Cependant, Der Spiegel ne précise pas à quelle fin ces programmes d'espionnage ont été menés, ni la période durant laquelle ils ont été effectués. BND est connu pour collaborer avec ses homologues israéliens dans le but de prévenir le terrorisme, notamment contre le Hamas et le Hezbollah. L'espionnage entre alliés est toutefois une pratique courante en Occident, et ce n'est pas la première fois qu'Israël est ciblé.

 

Au mois de janvier dernier, selon des documents publiés par le site intercept, les services de renseignements américains et britanniques avaient réussi à "casser" les codes cryptés émis par les drones israéliens au cours d'une mission d'espionnage baptisée "Anarchist".

 

En 2013, le scandale de la mise sur écoute de la chancelière allemande Angela Merkel par la NSA, l'organisme gouvernemental du département de la Défense des États-Unis, avait provoqué de fortes tensions entre Berlin et Washington.

 

 

L’AVANTAGE MILITAIRE EN PERIL ALORS QUE LES ARMES INONDENT LA REGION, PREVIENT UN GENERAL

JUDAH ARI GROSS

3 avril., 2016

 

 

Un haut général de l’armée de l’air israélienne a prévenu qu’Israël pourrait perdre son avantage militaire en pleine course croissante aux armements au Moyen Orient, pendant une conférence dimanche à tel Aviv.

 

Le général Tal Kalman, chef d’Etat major de l’armée de l’air, a prévenu que les armes inondant la région pourraient modifier l’équilibre des pouvoirs au détriment d’Israël, pointant l’hégémonie iranienne croissante sans pour autant nommer le pays.

 

« Il y a un potentiel pour une érosion de l’avantage qualitatif de l’armée israélienne et de l’armée de l’air », a déclaré Kalman, faisant allusion à l’engagement américain visant à faire en sorte qu’Israël soit mieux équipé militairement que ses voisins.

 

Kalman a qualifié la force aérienne de « figure centrale et dominante » dans la défense réussie d’Israël contre les menaces qu’il affronte, mais a prévenu que cela pourrait changer.

 

« Les armes occidentales et orientales sophistiquées sont entrées dans l’équation et ont été reçues par les pays nous entourant », a-t-il déclaré, faisant référence aux équipements militaires en provenance d’Europe et des Etats-Unis, ainsi que de Chine.

« Les avions de combat, les missiles balistiques et les missiles sophistiqués sol-air. Une course aux armements, avec de l’instabilité, a créé un grand danger », a-t-il déclaré, faisant allusion à l’Iran et à certains groupes extrémistes islamiques, mais sans en nommer aucun.

 

Depuis la signature de l’accord nucléaire par l’Iran et la levée des sanctions économiques sur la République islamique, Téhéran a travaillé à acquérir un équipement militaire, y compris un système de défense anti-aérien S-300 de la Russie, quelque chose auquel Israël s’est fortement opposé.

 

Malgré le retrait de la Russie de Syrie, le système plus sophistiqué S-400, ainsi que d’autres pièces d’équipement militaire russe, resteront dans le pays déchiré par la guerre, selon les médias russes.

 

Alors que Kalman a déclaré que l’accord nucléaire iranien servait à retarder la menace d’une annihilation nucléaire par Téhéran, il a souligné que la guerre conventionnelle avec les groupes financés par la république islamique était une menace plus présente que jamais.

 

« L’accord nucléaire a repoussé la menace nucléaire, mais [‘Iran] fournit la plupart des ressources et des armes qui sont données aux organisations travaillant contre l’Etat d’Israël, a déclaré Kalman. A mon avis, cette menace sera avec nous pendant la prochaine décennie au moins. »

 

Un haut grade de l’armée de l’air cite par Defense News la semaine dernière avait déclaré que la Russie avait simplement déplacé sa puissance aérienne en Syrie sans se retirer de manière significative.

 

Les remarques du général interviennent pendant les négociations avec les Etats-Unis pour une aide militaire sur 10 ans, et Israël aurait demandé une aide supplémentaire de Etats-Unis débutant en 2018.

 

Israël reçoit actuellement environ 3 milliards de dollars par an des Etats-Unis, mais quand l’aide actuelle s’arrêtera en 2017, Israël aurait demandé que le montant soit accru à 5 milliards de dollars annuels afin de maintenir un avantage militaire qualitatif sur ses ennemis.

 

Cette demande de 5 milliards annuels aurait été refusée, avaient déclaré des sources américaines à Reuters en fin d’année dernière. Cependant, les négociations entre Jérusalem et Washington sur l’aide sont toujours en cours.

 

Le général, un ancien pilote de combat, a décrit le Moyen Orient comme « grouillant et éclatant », prévenant que beaucoup des développements de la région ont été « inattendus ».

 

« L’ennemi d’aujourd’hui est l’ami de demain, et l’ami d’aujourd’hui est l’ennemi de demain », a déclaré Kalman.

 

Le général s’exprimait dimanche pendant la conférence annuelle de l’institut Fisher pour les études stratégiques aériennes et spatiales, à l’hôtel Hilton de Tel Aviv.

 

L’avion de combat F-35, un avion furtif de cinquième génération récemment déployé par les Etats-Unis, était au centre de la conférence de cette année.

 

Kalman a rendu hommage à l’avion de pointe, qui devrait arriver en Israël en décembre 2016.

« Cet avion est mieux que les autres avions sur le marché et son prix est inférieur à celui de certains autres avions disponibles », a-t-il déclaré.

 

« Le coût de l’avion [environ 100 millions de dollars par appareil] est descendu et sa maintenance est bon marché et deviendra encore moins chère avec le temps », a-t-il déclaré, répondant aux critiques sur le haut coût de la plateforme.

 

« Le logiciel de l’avion, qui est toujours en développement, est un bond en avant depuis les avions actuels », a déclaré Kalman.

 

 

BAISSE DU PRIX DU PETROLE :

ISRAËL A ECONOMISE $ 5 MILLIARDS EN 2015

Israel Valley,  4 avril, 2016

 

 

Le high tech s’essouffle, la productivité piétine et les prix des logements grimpent : le rapport 2015 de la Banque d’Israël vient de paraître.

 

La nouvelle édition du rapport annuel de la Banque d’Israël ne déçoit pas : les points forts de l’économie israélienne sont présentés en même temps que ses faiblesses, sans concession ni langue de bois ; ce qui permet d’entrevoir en toute clarté les enjeux de l’économie israélienne et les mutations en cours.

 

L’économie israélienne a connu en 2015 une croissance stable à 2,5% qui devrait se poursuivre cette année. Dans le même temps, le chômage a reculé à son niveau le plus bas depuis trois décennies ; ce bon résultat est attribué à la création de 90.000 emplois dans les entreprises commerciales et les services financiers, ainsi que dans le secteur public.

 

La croissance de ces deux dernières années est tirée principalement par la consommation des ménages : celle-ci a augmenté de 4,9% en 2015, soit le rythme de croissance le plus fort depuis 2007. À l’origine de la bonne tenue de la consommation privée : des taux d’intérêt presque nuls, une situation proche du plein emploi, et la baisse des prix de l’énergie. La vague de terreur qui a démarré au dernier trimestre 2015 n’a pas entraîné l’économie dans une récession, comme cela avait été le cas lors des Intifadas précédentes.

 

Autre raison d’optimisme de la Banque centrale : la baisse des prix de l’énergie dans le monde. Le prix du pétrole a chuté de 65% au cours des deux dernières années. Pour l’économie israélienne, la réduction de sa facture énergétique s’est élevée à 5 milliards de dollars en 2015 par rapport à 2013 ; il s’agit de l’équivalent de 1,6 point de PIB. Ce qui a permis de réduire la dette extérieure du pays et d’augmenter d’autant l’excèdent de sa balance des paiements.

 

En revanche, la Banque d’Israël relève plusieurs faiblesses de l’économie israélienne. 2015 restera marquée comme l’année qui fut le témoin de l’essoufflement du secteur du high tech : « il semble que le potentiel de croissance de ce secteur ait été atteint, après que de nombreuses multinationales aient ouvert des centres de R&D en Israël » souligne les économistes de la Banque centrale.

 

Autre mise en garde de la Banque d’Israël : la productivité est trop faible et l’écart avec les autres pays développés de l’OCDE se creuse. Certes, le rythme de croissance a été de 2,5% en 2015, mais la population israélienne a augmenté au rythme soutenu de 1,8% ; autrement dit, la productivité par tête n’a augmenté que de 0,5%, contre une moyenne de 1,5% dans les pays de l’OCDE.

 

De même, les exportations qui ont longtemps été la locomotive de l’économie israélienne, ont tiré la croissance vers le bas en 2015 : elles ont baissé de 1,3%, marchandises comme services. Et pour cause : l’économie mondiale s’est ralentie et l’appréciation du shekel face aux autres devises a entamé la compétitivité de l’industrie israélienne.

 

En conclusion de son rapport, Karnit Flug, la gouverneure de la Banque d’Israël, recommande au gouvernement « d’agir à l’amélioration des services publics aux citoyens, d’investir dans les infrastructures et de soutenir les moteurs de la croissance, notamment en lançant des réformes qui réduiront les obstacles à la croissance et en renforçant la concurrence dans les branches repliées sur elles-mêmes, comme le secteur financier ».

 

 

 

DISPARITION D'IMRE KERTESZ, PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE

POUR SON OEUVRE SUR LA SHOAH

Jonathan Aleksandrowicz

Rubrique Culture, 31 mars, 2016

 

 

Lorsque Georges Perec mourut, les jours passaient et ses amis de la synagogue du quartier du Marais qu’il fréquentait s’étonnaient de ne pas avoir de date pour son enterrement. Un célèbre réalisateur de ses proches, lui-même brutalement décédé en 2004, s’inquiétait puis apprit que Georges Perec, enfant caché durant la Seconde guerre mondiale, avait sciemment choisi d’être incinéré – pour « partir comme eux ». Ce réalisateur expliquait qu’il y avait dans cet acte quelque chose d’une « avéra lichma », une transgression commise au nom de D’ieu. Le sens, perdu à cause de la « Solution finale » ne revenait que par un choix disant l’opposition à la tradition. Comme s’il avait fallu le sacrifice de ses obsèques pour que le signifié revînt à Perec. Et l’écriture de Perec disait cela dans ses jeux sur la langue, sur le signifiant. Son roman le plus célèbre, « La disparition », ne narrait-il pas une enquête sur la disparition de la lettre « e » et comme expression de celle-ci, l’absence de cette lettre dans tout le texte ? Le e et « eux » étaient partis. Le sens avait fui. Une manière d’exprimer l’absence.

 

Il faudra vivre l’absence d’Imre Kertesz. Son décès ce jeudi 31 mars 2016, signe la disparition de l’exact opposé de Georges Perec. La veine qu’il a creusée aura fait du présent le personnage principal de son œuvre, comme pour emprisonner dans les mots, dans leur signifié, leur sens le plus simple, voire naïf, son expérience concentrationnaire. Né en Budapest, Kertesz ne dit pas l’absence de ses proches après la Shoah. Il a lui-même été déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, puis sera plus tard transféré à Buchenwald. Ce n’est donc pas l’absence qu’il veut exprimer, c’est le présent qu’il cherche à restituer. Il s’attèlera dès les années 1950 à l’écriture d’« Être sans destin » qui ne paraîtra qu’en 1975. Dire la Shoah en Hongrie sous joug soviétique, une impossibilité qui valut à l’époque au texte une frileuse réception. Pourtant, aux côtés de « Nacht » d’Edgar Hilsenrath, ou de « Si c’est un homme » de Primo Levi, son roman complète une trilogie de l’enfer sans terre. Mais à la différence des deux autres, Kertesz fait un usage presque immodéré d’un présent. La montée des périls est vue à travers le regard de l’adolescent qu’il était, les camps d’Auschwitz puis de Buchenwald sont décrits sans superlatifs. Avant même le film « Le fils de Saul » (encore d’un réalisateur hongrois), la littérature offre par Imre Kertesz une plongée non dans l’horreur des camps mais dans leur présent. Le réel ne fait pas de littérature : avant d’être analysé, interprété, il doit d’abord se lire. Le block, la chambre à gaz, sont des évidences sur lesquelles Kertesz ne portera aucun regard axiologique. Les enfants et les personnes âgées meurent dans les trains parce qu’elles sont en mauvaise santé ? « Naturellement », nous dit-il : on ne survivait pas à « ça ».

 

Lui fit de la survie une exigence, bien qu’il refusera qu’un enfant lui survive, ce qu’il expliquera dans « Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas », texte d’à peine une centaine de pages, disant plus que jamais les décombres qui restent aujourd’hui de notre monde après la césure de la Seconde guerre mondiale. Sa sensibilité lorgnant autant sur l’absurde d’Albert Camus et l’étrangeté de Kafka lui vaudra le prix Nobel de littérature en 2002. Dans les raisons expliquant ce choix, le jury du Nobel expliquera : « pour une œuvre qui dresse l’expérience fragile de l’individu contre l’arbitraire barbare de l’histoire ». Sans doute une maladresse dont ce jury est coutumier, car Kertesz disait lui-même que sa vie n’en appelait pas à l’individu, mais à l’être même de l’homme, cette idée antérieure à l’identité qui transcende l’expérience personnelle.

 

Ainsi, écrivait-il dans « Etre sans destin » :  « Moi aussi, j’ai vécu un destin donné. Ce n’était pas mon destin, mais c’est moi qui l’ai vécu jusqu'au bout, et j'étais incapable de comprendre que cela ne leur rentre pas dans la tête : que désormais je devais en faire quelque chose, qu’il fallait l’adapter à quelque chose, maintenant, je pouvais ne pas m’accommoder de l’idée que ce n'était qu’une erreur, un accident, une espèce de dérapage, ou que peut-être rien ne s’était passé. »

 

Bien sûr, la vie d’un homme ne se résume pas à son œuvre, et quelque chose de l’intimité échappe définitivement une fois que la respiration cesse pour toujours. Mais dans ses mots, Imre Kertesz dit que chaque homme est tout homme à condition d’accepter de vivre jusqu’au bout. Sa vie et son destin ont beau à partir d’aujourd’hui s’écrire au passé, nul doute qu’Imre Kertesz est entré dans le présent perpétuel. Certains appellent cela l’éternité.

 

L'engouement pour Jérusalem: David Bensoussan, Huffington Post, apr. 4, 2016

 

 

Shabbat Shalom!

 

 

 

 

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