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20 MILLIONS DE MUSULMANS : LES NOUVEAUX JUIFS D’EUROPE ?

 

 

 

 

 

La VIE est morte à Auschwitz

Sebastian Vilar Rodriguez

terredisrael.com, 31 octobre 2013

 

C’est alors que je flânais dans les rues de Barcelone que j’ai réalisé la surprenante vérité : L’Europe est morte à Auschwitz.

 

Nous avons tué six millions de Juifs, qu’on a troqué contre vingt millions de Musulmans. A Auschwitz, nous avons incinéré toute une culture, toute une créativité et tout un talent. Nous nous sommes débarrassés du Peuple élu (et il l’est vraiment), dont sont sortis des génies et des personnalités grandioses qui ont changé la face du monde.

 

Les apports de ce peuple couvrent tous les domaines : les sciences, les arts, le commerce international, … etc. Ces gens qui représentaient la conscience du monde, nous les avons brûlés.

Ensuite, au nom de la tolérance et afin de prouver que nous avons été guéris du racisme, nous avons ouvert nos portes devant vingt millions de Musulmans qui nous ont apporté l’idiotie, l’ignorance, l’extrémisme religieux, l’intolérance, le crime et la pauvreté due à un manque d’appétit pour le travail digne.

 

Ils ont transformé les belles villes d’Espagne en des villes tiers-mondistes plongées dans le crime et la pollution. Ils s’enferment dans les maisons que l’Etat leur a gratuitement fournies pour planifier des attentats meurtriers et destructeurs contre leurs innocents hôtes.

 

Ainsi, stupidement, nous avons troqué la culture contre la haine, la capacité de création contre la capacité de destruction, l’intelligence contre la stupidité et les arts contre les croyances dépassées. A la place des Juifs d’Europe connus pour leur vénération de la vie et pour leur capacité à faire la paix et à nourrir l’espoir d’un meilleur avenir pour leurs enfants, nous avons fait venir des gens qui cherchent la mort et qui la souhaitent pour eux-mêmes et pour les autres.

 

Quelle erreur a-t-elle commis cette pauvre Europe ?

 

L’identité de Rodriguez reste mystérieuse et est le sujet de beaucoup de controverse sur le Web. Nous savons seulement qu’il est écrivain d’origine espagnole.

 

 

Libération de terroristes :

justice et moralité devant la Raison d’Etat

Freddy Eytan

Le CAPE de Jérusalem, 28 octobre 2013

 

Le gouvernement Netanyahou vient de décider de relâcher dans la nature 26 nouveaux terroristes détenus dans les prisons israéliennes depuis déjà deux décennies. Il s’agit de la deuxième tranche de détenus sur les 104 terroristes que le gouvernement a décidé de libérer dans le cadre des négociations de paix en cours avec les Palestiniens. Une décision grave et contraire aux principes fondamentaux de la Justice et aux valeurs morales. Comment libérer un assassin de la pire espèce ? Comment avoir pitié pour des bêtes humaines ? Tous ceux qui égorgent et massacrent à la hache des femmes et des bébés, ces sanguinaires, assoiffés par la haine du Juif et pour qui l’assassinat d’un enfant israélien est un devoir sacré, divin ! Sont-ils vraiment des combattants, des résistants, comme le décrivent les dirigeants palestiniens et certains médias internationaux ? Souhaitent-ils vraiment la paix et la coexistence avec le peuple israélien ou veulent-ils continuer à inciter à la haine et à perpétuer le conflit ?

 

Tandis que nos familles pleurent leurs victimes dans la douleur et manifestent leur colère noire, les terroristes, eux, refusent de prononcer des remords, ni même un seul regret ! Tous ces assassins sortis de prison se trouvent en excellente santé et sont accueillis tels des « héros de guerre ». Incroyable mais vrai ! Le fossé entre les sociétés et les mœurs demeure immense. Chez eux, tous les maux de la terre sont représentés par le Juif et par le sioniste !

 

Depuis les années 1970 tous les gouvernements israéliens on cédé au principe sacro-saint de ne jamais négocier ni relâcher des terroristes. Il est temps de mettre un terme à cette politique désastreuse car elle encourage en fait le terrorisme aveugle. Ce fléau devrait être combattu avec force et sans pitié et tous les assassins sans exception devraient purger leur peine jusqu’au bout. L’amnistie des terroristes par le Président de l’Etat juif est immorale et contraire aux valeurs du judaïsme ! Certes, la Raison d’Etat existe et souvent des décisions politiques prévalent sur toute autre considération, mais concernant la question fondamentale de la libération d’assassins un code de conduite doit être appliqué. Face à un ennemi impitoyable et devant des bêtes humaines, seule une politique ferme et intransigeante mettra un terme au chantage des Palestiniens ou au diktat des Américains.

 

La nouvelle tradition africaine d'Israël

upjf.org, 27 octobre 2013

  

Les Israéliens sont venus en masse assister à la Sigdiada attirés par la culture éthiopienne. Des stands de bijouteries et de broderies made in Ethiopia sont alignés devant le théâtre national Habima à Tel Aviv alors que la foule attend depuis plus d'une demi-heure afin d'acheter le pain éthiopien plat et citronné Injera à l'entrée du Sigdiada, le festival de la culture et du folklore de la communauté juive éthiopienne résidant en Israël.

 

A l'intérieur, les membres du groupe traditionnel musical Almaz interpellent les passants pour évoquer leurs difficultés financières. Le groupe reggae Zvoulon Dubb System et la chanteuse israélo-éthiopienne Ester Rada sont sur scène. Dans le même temps des mannequins de même origine défilent en vêtements traditionnels sous les applaudissements du public, rapporte le quotidien Haaretz.

 

Près de la moitié des 3.000 personnes qui se sont rendues au Sigdiada, ainsi nommé d'après le Sigd, une fête juive éthiopienne célébrée le 2 octobre dernier, n'étaient pas d'origine éthiopienne.

Cela témoigne de la puissance impressionnante de la communauté éthiopienne. Fin août cette communauté s'est agrandie avec l'arrivée des derniers juifs éthiopiens dans le cadre de l'opération "Ailes de Colombe". Quelque 450 nouveaux immigrants sont arrivés en Israël grâce à ce programme lancé en novembre 2010 par le gouvernement israélien, pour ramener des Juifs éthiopiens, majoritairement membres de la communauté Falashmouras.

 

"La fin de l'opération 'Ailes de Colombe' met un terme à un voyage historique qui a commencé il y a trois mille ans", avait déclaré à leur arrivée Natan Sharansky, président de l'Agence juive, chargée d'organiser le retour des Juifs en terre d'Israël. Au total la communauté ethiopienne compte quelque 100.000 personnes.

 

Durant la Sigdiada, racisme et discrimination sont mis de coté, souligne le quotidien Haaretz. Les sujets qui fâchent ont été également ignorés. Par exemple, l'école de Beit Dagan (sud-est de Tel Aviv) dont les parents d'élèves votèrent sur l'admission ou pas d'enfants éthiopiens (seuls trois parents d'élèves votèrent en faveur de ces enfants).Un autre exemple : cette adolescente israélienne d'origine éthiopienne, traînant dans le parc Gandhi à Lod (sud-est de Tel Aviv), tenant à la main une boisson énergisante et affirmant qu'à l'âge "mûr" de 14 ans, elle tenait déjà très bien l'alcool.

 

Il y eut bien un débat sur la discrimination au rez- de-chaussée où fut jouée "Gur Aryeh Yehouda" une pièce de l'organisateur du festival, Shaï Pardo. Dans la pièce, Pardo retrace douloureusement son autobiographie et rappelle que l'arrivée en Israël depuis l'Ethiopie débuta par la remise d'un survêtement et l'attribution d'un nouveau patronyme, Shaï à la place d'Ashto. Il raconte qu'il est interdit d'entrée dans les nightclubs et insulté dans la rue. Un spectateur hurle alors sa colère : "C'est une pièce du répertoire d'Habima ?"

 

Pardo ne s'est pas excusé d'avoir mis la culture traditionnelle éthiopienne au coeur du festival. "Depuis 30 ans, les Israéliens associent la communauté éthiopienne au racisme, à la misère et aux meurtres", affirme-t-il. "Ils firent une fois un travail de recherche, et presque toute la presse a réagi négativement. Même s'il s'agit d'un sujet divertissant, l'auteur de l'article évoquera toujours une mère de 10 enfants dans le besoin, omettant les aspects positifs. Nous sommes venus à Habima, dans le centre de Tel Aviv, nous avons été bien accueillis. La plupart des gens nous demandent où nous étions jusqu'à présent", ajoute Pardo.

 

Le Sigdiada, dont un des sponsors improbables n'est autre qu'Agmon, une association de vétérans du Mossad, est au coeur de l'effort pour faire du Sigd une fête nationale au même titre que la Mimouna, cette fête d'origine juive marocaine qui se déroule à l'issue de la semaine de Pessah (la Pâque juive).

 

Ce fut une bonne année pour la communauté éthiopienne, qui est actuellement représentée par deux députés à la Knesset (Parlement israélien), Shimon Solomon et Pnina Tamano-Shata, tous les deux du parti du centre_droit Yesh Atid de Yaïr Lapid. Elle est également personnifiée par Yityish Aynaw, la nouvelle Miss Israël et par Tahunia Rubel, un mannequin qui a remporté en août dernier le reality-show Big Brother. Gili Yalo, le chanteur du groupe Zvoulon Dub System, a déclaré avec enthousiasme sur la scène du festival : "La communauté éthiopienne est tout à fait épanouie. Nous avons même nos stars".

 

Des hommes politiques se sont également rendus au festival. Des membres de Yesh Atid ont distribué des ballons aux enfants. Le maire de Tel Aviv, Ron Huldaï, fraîchement réélu entre temps, a sautillé et dansé sans réserves avec les filles du groupe Almaz. "Il vient encore chercher quelques voix avant les élections", explique un des participants.

 

Le site de la mairie de Tel Aviv et plusieurs médias ont annoncé qu'il s'agissait de la première Sigdiada, bien que ce ne soit pas le cas. Ce fut effectivement la première fois que le festival s'est tenu à Habima, mais il se déroula l'année dernière dans le quartier Florentin dans le sud de Tel Aviv.

 

Pardo envisage cependant de retourner au théâtre Habima et d'étendre le festival sur plusieurs jours. "La Mimouna aussi a bien dû commencer quelque part", dit-il. Il a particulièrement été enthousiasmé par la queue au stand du pain Injera. "Cette file de gens me rappelle mon expérience à Manhattan lorsqu'on ouvre un nouveau magasin", ajoute-t-il.

"Ce fut une expérience visuelle", conclut Pardo

 

 

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