L’Assemblée générale de l’ONU a adopté par 129 voix contre 11 et 31 abstentions une résolution renommant islamiquement « Haram el sharif »,le « Mont du Temple », et Al Kuds. « Jérusalem ». Elle entérine la manipulation des islamistes qui ont décrété que toute la montagne du Temple antique était incluse dans le périmètre de la mosquée El Aksa , c’est à dire ipso facto un lieu de culte exclusif pour les musulmans, c’est à dire interdit aux Juifs. A ce jour les Juifs non pas le droit d’y prier même en silence dans l’espace le plus saint du Judaïsme. La police israélienne met en œuvre cette intolérance qui crie jusqu’au ciel et expulse sans ménagement les Juifs qui y contreviennent. La Jordanie a profité du vote de l’assemblée pour prétendre que la montagne ainsi que les lieux saints chrétiens (!) de la ville – qui dans toutes les résolutions est appelée « El Kuds »- était sous la tutelle de son roi. L’ONU légalise ainsi les dessous les plus noirs du « vivre ensemble ».
C’est là une violence symbolique qui n’a d’égal que celle de l’empereur romain qui après avoir détruit la Jérusalem évidemment juive la renomma Aelia Capitolina pour effacer son nom et nomma Eretz Israel, « Palestina », du nom des plus grands ennemis d’Israël, les Philistins, des envahisseurs grecs établis le long du littoral entre Ashdod et Gaza, un nom, Pelishtim qui signifie expressément les « envahisseurs ». Ce n’est que 7 siècles plus tard qu’avec l’invasion islamique Jérusalem devint El Kuds. Les Palestiniens d’aujourd’hui méritent ainsi bien leur nom. Ils ne furent d’ailleurs jamais une entité avant la création d’Israël.