L’économie israélienne devrait “absorber” le choc du coronavirus (Standard & Poor’s)
i24NEWS, 17 mai 2020 Si le pays devrait entrer en récession, les analystes prévoient un redressement de 6% en 2021
Israël devrait être en mesure “d’absorber le choc économique” provoqué par la pandémie de coronavirus en raison de ses fondamentaux macroéconomiques solides et de sa grande flexibilité monétaire, ont prévu les analystes de Standard & Poor’s.
Si l’économie devrait se contracter de 5,5% cette année, et entrer en récession pour la première fois depuis deux décennies, les analystes prévoient un redressement de plus de 6% pour l’année 2021.
Cette relance devrait être soutenue par la reprise économique mondiale et le succès du secteur de la high tech.
“L’économie résiliente d’Israël et sa solide position extérieure équilibrent les risques à la baisse liés à la pandémie de Covid-19”, ont déclaré les analystes.
Ces derniers ont également salué la réponse rapide des autorités pour contenir la pandémie malgré “des turbulences politiques prolongées”.
Les mesures fiscales destinées à contenir l’impact de la pandémie et du ralentissement économique devraient creuser le déficit public qui atteindrait 10,3% du PIB en 2020.
Malgré cela, les chercheurs de Standard & Poor’s estiment qu’il y a “de bonnes raisons de ne pas trop s’inquiéter pour la stabilité budgétaire” du pays, mettant en avant les paramètres de politique monétaire très flexibles, l’excellent accès aux marchés financiers nationaux et internationaux, ou encore un large consensus politique sur la maîtrise de la dette publique.
Une relance des séjours sans quarantaine entre Israël et cinq pays à l’étude
TIMES OF ISRAEL STAFF et JTA20 mai 2020, Alors que les restrictions sur les voyages internationaux commencent à être levées suite à une baisse constante des taux d’infection au coronavirus, Israël songe à abandonner les exigences de mise à l’isolement personnelle et obligatoire pour les voyageurs de cinq pays.
Ces pays sont la Grèce, Chypre, les Seychelles, la Géorgie et le Monténégro.
Cette initiative a été discutée lors d’une rencontre, mardi, qui a réuni des responsables du ministère du Tourisme, du ministère de la Santé et de l’Autorité des aéroports, a fait savoir la chaîne publique Kan.
Ce projet, qui n’a pas encore obtenu d’approbation finale, débuterait par une phase-pilote pendant l’été pendant laquelle les responsables surveilleraient minutieusement les effets d’une politique d’ouverture des frontières entre les nations, qui se distinguent toutes par un taux bas d’infection au coronavirus.
Des pourparlers sont en cours avec l’Autriche pour que cette dernière rejoigne la liste.
Israël interdit encore l’entrée des non-ressortissants sur son territoire et exige de ses citoyens revenant d’un séjour à l’étranger de se mettre en quatorzaine.
Israël a pris part à une réunion, lundi, entre huit pays présentant de faibles taux d’infection pour évoquer la réouverture des frontières et la relance du tourisme alors que la menace du virus semble s’estomper. L’Autriche, l’Australie, la République tchèque, le Danemark, la Grèce, la Nouvelle-Zélande et Singapour sont les sept autres pays en question.
Les responsables ont estimé que le danger de réinfection parmi ces nations était très bas et que supprimer dans la mesure du possible les obstacles aux déplacements soutiendrait la reprise du commerce et du tourisme.
Mardi également, le transporteur aérien Delta Airlines a annoncé sur son site Internet qu’il allait reprendre les vols entre New York et l’État juif au début du mois prochain, avec l’obligation du port du masque pour le personnel et les voyageurs.
Ces vols seront « moins que quotidiens », a fait savoir Delta.
Le premier avion à décoller pour Israël depuis la mi-mars s’envolera de l’aéroport international JFK de New York, le 3 juin, avec un retour prévu le 6. Les vols opèreront le samedi soir, le dimanche, le lundi et le mardi.
En plus de l’obligation du port du masque, la compagnie a indiqué que seuls 50 % à 60 % des sièges seraient occupés pour garantir une distance appropriée entre les voyageurs.
United Airlines a continué à faire voler ses appareils vers Israël depuis les aéroports de Newark Liberty, Washington Dulles et de San Francisco pendant toute la crise du coronavirus.
« C’est la première fois que je rentre dans l’eau depuis des mois. C’est la meilleure sensation au monde! » À l’aube, et en pleine canicule, Daria ne s’est pas fait prier pour célébrer la réouverture des plages en Israël après deux mois de confinement.
Si début avril, lorsque les premières mesures de confinement ont été édictées pour limiter la propagation du nouveau coronavirus, la fermeture des plages n’avait ni choqué ni déçu outre mesure, c’est que les températures de l’eau comme de l’air restaient fraîches.
Mais avec le début du déconfinement ces dernières semaines, et la chaleur caniculaire des derniers jours, certains Israéliens n’ont pas attendu le feu vert des autorités pour piquer une tête.
Samedi dernier, lors de shabbat, des milliers de personnes ont défié les règles sur les plages de Tel-Aviv pour se faire dorer la pilule et se rafraîchir dans la Méditerranée sur des plages sans sauveteurs.
L’ouverture au public mercredi de 124 plages surveillées à travers le pays marque le début officiel de la saison balnéaire. Celle-ci devait s’ouvrir le 1er avril, mais a été repoussée au 1er juin en raison de la pandémie de COVID-19, avant d’être finalement avancée au 20 mai.
Vêtus de t-shirts orange fluo, les plagistes de Tel-Aviv se sont affairés à disposer transats et parasols sur le sable en veillant à respecter les directives, sous le regard inquisiteur des résidents qui affluent et n’aspirent qu’à une bouffée de liberté au soleil.
Daria, 30 ans, en bikini et le dos couvert de tatouages colorés, était à la plage à l’aube. « À cause de la chaleur, je suis venue à 05h45, j’attendais ce moment avec impatience », dit-elle à l’AFP.
« Deux mois sans nager à cause du nouveau coronavirus, j’avais l’impression de dépérir », renchérit Dalia Cohen, 72 ans, large sourire, venue comme Dalia tôt pour profiter de la Méditerranée.
Deux mètres ou deuxième vague
Mais avec les transats, les enfants qui façonnent des châteaux de sables, les jeunes qui jouent aux raquettes et une part de liberté retrouvée, difficile pour les autorités de faire respecter les mesures de distanciation physique.
En théorie, une distance de deux mètres entre les personnes reste requise sur les plages et les groupes ne doivent pas dépasser six personnes, a détaillé le gouvernement qui cherche à déconfiner tout en craignant une deuxième vague de contaminations.
Pays d’environ neuf millions d’habitants, Israël a officiellement enregistré environ 16 600 cas de COVID-19, dont 278 décès, ce qui reste en deçà des bilans de nombre de pays en Europe et sur le continent américain.
L’épidémie s’est concentrée chez les juifs orthodoxes, parfois appelés « haredim » (les « craignants » Dieu en hébreu), ce qui a contribué à l’idée que les quartiers ou villes non-orthodoxes étaient moins propices à la propagation du virus.
« Tel-Aviv est différente, car il n’y a pas de haredims, mais nous avons eu beaucoup de touristes qui ont aussi amené le virus », note Teah Harel, 29 ans, rencontrée par l’AFP et qui, avant l’ouverture des plages, affirmait ne pas se sentir en danger.
Avec le soleil, et maintenant la mer, plusieurs n’attendent désormais qu’une chose: la réouverture des bars. À moins d’une nouvelle vague de contamination rapide, leur souhait devrait être exaucé dans une semaine, le 27 mai, ce qui devrait donner à la libérale Tel-Aviv son véritable air d’été.
Une heure après l’ouverture de l’audience, le procès pour corruption du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a été ajourné dimanche 24 mai. Ses avocats ont demandé plusieurs mois pour étudier les diverses preuves retenues contre le chef du gouvernement. Le parquet, lui, avait demandé à ce que les témoins soient rapidement entendus. Les trois juges ont donc décidé de prendre du temps pour étudier ces demandes et ont ajourné la séance, sans donner de nouvelles dates pour la reprise des audiences.
causeur.fr – 26 mai 2020 Albert Memmi s’est éteint paisiblement vendredi dernier. Il avait 99 ans. Sociologue, romancier, essayiste, poète et professeur à l’École Pratique des Hautes Études, il laisse une œuvre essentielle. En 1953, son premier livre La statue de sel fait entrer par la grande porte, le minuscule monde juif tunisien dans la Littérature française.
La Statue de sel est un condensé de ce que sera l’œuvre de Memmi : questions sur ses identités multiples, du passage d’un monde simple et pauvre à celui de la culture, des allers retours entre la Tunisie et la France, Juifs et arabes etc.
Par le Rav Yaacov Amsellem auteur de “l’echelle de Jacob” fils du Tsadik Rav Nissim Amsellem zatsal Neveu de l’ Admour Sidna Baba Salé zatsal
לעלוי נשמת מור אבי הקדוש עט”ר הרה”ג הצדיק החסיד והעניו
רבי נסים אמסלם זצוק”ל וזיע”א
Le cycle annuel des solennités sacrées correspond aux sept étapes qui constituent dans l’évolution historique, les phases successives de la création du peuple juif. Grâce à ces fêtes, la nation se retrempe dans l’atmosphère exaltante de ses origines et, en traversant à nouveau les étapes successives, elle puise chaque année de nouvelles forces morales et spirituelles aux sources mêmes de sa création.
Nous vous souhaitons une excellente Fête de Shavouot.
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