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Communiqués Isranet Daily Briefing

UNE PREMIÈRE À L’ONU

  

             

 

 

ISRAËL PREND POUR LA PREMIÈRE FOIS

LA PRÉSIDENCE D’UNE COMMISSION DE L’ONU

Raphael Ahren

Times of Israel, 14 juin, 2016

 

Pour la première fois de son histoire, Israël a obtenu la présidence d’une des six commissions spécialisées de l’Assemblée générale (AG) de l’ONU, au grand dam des pays arabes et des Palestiniens.

 

Dans le cadre du renouvellement des instances de l’Assemblée en prévision de sa 71e session, qui commence en septembre, l’ambassadeur israélien Danny Danon a été élu à la présidence de la Sixième commission chargée des questions juridiques. Dans un vote à bulletin secret organisé lundi à New York, Danon a recueilli 109 voix parmi les 193 pays membres lors d’un scrutin à bulletins secrets, alors que les instances des commissions sont généralement choisies par consensus, et a été élu président de la Sixième commission de l’AG, qui traite des sujets juridiques.

 

« C’est une réussite historique pour l’Etat d’Israël. Nous avons brisé le plafond de verre : malgré l’opposition de nombreux pays, dont l’Iran et d’autres qui ont essayé d’empêcher le vote, nous avons réussi à être élu pour la première fois à la tête d’une commission de l’ONU », a déclaré Danon.  « Je suis très fier d’être le premier Israélien à être élu à la présidence d’une commission », a-t-il commenté devant des journalistes.

 

« Comme président, je travaillerai avec tous les Etats membres, y compris ceux qui n’ont pas voté pour moi et je continuerai de soutenir les vrais objectifs de l’organisation ». Dans un communiqué, la mission israélienne a salué « une réussite historique pour Israël », souvent cloué au pilori par l’ONU pour sa politique d’implantation en Cisjordanie ou ses opérations militaires à Gaza. « C’est la première fois depuis que l’Etat hébreu à rejoint l’ONU en 1949 qu’un représentant israélien va présider une commission permanente », souligne le communiqué.

 

Dans le passé, des diplomates israéliens ont présidé d’autres commissions de l’ONU, moins prestigieuses, et même coprésidé l’AG, mais jamais l’une des six commissions principales de l’AG. « La Sixième commission est le forum principal pour l’étude des questions légales à l’Assemblée générale », selon l’ONU.

 

Parmi les sujets qu’elle devrait traiter pendant l’AG de cet automne, on trouve les « mesures pour éliminer le terrorisme international » et « la règle de la loi aux niveaux national et international ». « L’une des premières tâches de l’ambassadeur Danon à son nouveau poste sera de promouvoir la Convention d’accord sur le terrorisme international », a annoncé dans un communiqué de presse la délégation israélienne.

 

Israël entend profiter de cette tribune pour renforcer les textes de l’ONU sur la lutte contre le terrorisme. « Israël est un leader mondial dans la loi internationale et dans le combat contre le terrorisme. Nous sommes ravis d’avoir l’opportunité de partager notre connaissance avec les pays du monde », a déclaré Danon. Il a été nominé à ce poste par le groupe des pays occidentaux et autres à l’ONU, dont c’était le tour de choisir un président pour la commission. Israël est membre temporaire du groupe des pays occidentaux et autres depuis 2000 et a rejoint le groupe de manière permanente en décembre 2013.

 

Les présidences des commissions principales de l’AG sont attribuées par roulement et sont en général confirmées sans vote. Dans ce cas, le Yémen a cependant défié, au nom du groupe arabe, la nomination d’Israël et a demandé un vote. Israël a été élu par un vote à bulletin secret lundi. Les félicitations ont immédiatement commencé à affluer de la part des états occidentaux qui soutenaient le pari de Jérusalem.

 

Les Palestiniens avaient commencé à protester contre la nomination d’Israël la semaine dernière. « Il est ironique qu’Israël, un état qui continue à violer la loi et les conventions internationales, les lois humanitaires internationales et nombre de résolutions de l’ONU, soit nominé pour diriger une commission juridique dont l’objectif est de promouvoir la législation internationale et de protéger les libertés et les droits fondamentaux de l’Homme », a déclaré mercredi Hanan Ashrawi, haut fonctionnaire de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).

 

En nominant Israël, le groupe des pays occidentaux et autres, qui comprend l’Australie et la Nouvelle-Zélande, « tourne en dérision le système légal international et récompense Israël pour ses violations flagrantes de la législation internationale et pour ses actes de punition collective et de violence », a ajouté Ashrawi.

 

Le représentant palestinien à l’ONU, Riyad Mansour, a pour sa part dénoncé une élection « négative et source de division ». Il a estimé que l’ambassadeur israélien « représente l’occupation et n’est pas qualifié pour présider la Sixième commission », et averti que les pays arabes allaient se concerter pour évaluer comment réagir.

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UNE VICTIME DE L’ATTENTAT DE SARONA                                

SORTIRA CETTE SEMAINE DE L’HOPITAL                                                      

Times of Israel, 14 juin, 2016

 

Assaf Bar, 27 ans, a été blessé lors de l’attentat de Sarona, mercredi soir dernier, qui a causé la mort de quatre Israéliens. Cet habitant de Haïfa a reçu deux balles dans la tête. Transféré à l’hôpital Ichilov de Tel Aviv, où il a pu se faire soigner, les docteurs ont pris la décision de ne retirer qu’une seule des deux balles.

 

Une des balles s’était logée dans la zone derrière son oreille. Lors d’une opération d’urgence, la décision a été prise de la retirer du fait des saignements abondants et des risques pouvant causer des dommages permanents, a rapporté Ynet. La seconde balle, postée à l’arrière de sa tête, ne portant pas atteinte directe à sa santé, n’a pas été enlevée.

 

Assaf Bar a raconté son expérience traumatisante. Il était en compagnie de sa petite amie, en train de dîner, lorsque les deux terroristes se sont assis à une table à côté d’eux. Au moment de payer l’addition et de partir, les terroristes ont ouvert le feu, blessant en premier Assaf Bar. Aujourd’hui, ce dernier déclare se sentir mieux, malgré la persistance de maux de tête et des problèmes d’audition. « Je me sens plus fort tous les jours, et j’attends de pouvoir sortir de l’hôpital, et je serai content de pouvoir retourner à Haïfa, à mes études, à mon travail, auprès de mes amis et de ma petite amie ».

 

D’autre part, la victime a tenu à remercier le travail des médecins de l’hôpital Ichilov. « Le fait que je sois en vie aujourd’hui ne doit pas être considéré comme acquis. Tout le mérite va aux équipes médicales de l’hôpital », a-t-il déclaré. D’une voix émue il a tenu à rendre hommage aux victimes tuées et à leurs familles. « Pour moi, en tant que citoyen de la nation israélienne, j’en ai marre de perdre des personnes auxquelles je tiens tous les mois. Mon cœur est avec les familles de ceux qui ont été tués. Que vous ne connaissiez plus de douleur. »

 

« Je refuse d’accepter la réalité qui existe dans notre pays, que des personnes innocentes soient tuées et qu’aucun effort ne soit fait pour les prévenir. » Selon les docteurs, Assaf Bar devrait se remettre complètement de ses blessures et il sera capable de retrouver une vie normale.

 

« Assaf est un bon exemple. Il montre qu’en dépit d’avoir reçu deux balles dans la tête, avec beaucoup de chance et un traitement immédiat par le Docteur Strauss, il est debout devant vous », a déclaré le directeur de la neurochirurgie de l’hôpital Ichilov, le professeur Tzvika Ram.

 

                           

L’UN DES POLICIERS AVAIT INVITE L’UN DES TIREURS CHEZ LUI AVANT DE REALISER QUI IL ETAIT                                                     

                                                     Times of Israel, 9 juin, 2016

                                                                                                          

C’est sans doute l’histoire la plus étrange qui va émerger de l’attentat meurtrier de la nuit dernière à Tel-Aviv. Nouveaux détails sur la façon dont l’un des tireurs a été pris : Après la fusillade, l’un des assaillants a fui la scène. Il a rencontré un Israélien dans une rue voisine et lui a demandé un verre d’eau. L’homme a invité le tireur dans sa maison, lui a donné de l’eau, puis s’est précipité vers la scène de l’attaque.

 

Cet Israélien était un policier. Ce n’est qu’une fois qu’il a vu l’autre tireur couché, blessé dans la rue après avoir reçu des tirs des gardes de sécurité, que le policier a soupçonné que l’homme encore dans sa maison – où se trouvait sa femme – pouvait être le deuxième terroriste. Les deux portaient des costumes assortis. L’officier s’est précipité chez lui, où le tireur était assis sur une chaise, à côté de sa femme, et l’a arrêté.

 

 

«C’est le même terrorisme islamiste qui frappe à Tel-Aviv,

Bruxelles ou Paris»

Times of Israel, 9 juin, 2016

 

L’attentat survenu hier à Tel-Aviv qui a vu deux terroristes palestiniens vider consciencieusement les chargeurs de leur kalachnikov sur des civils à la terrasse d’une chocolaterie, et ce compris une fillette de quatre ans, montre une fois encore que les mots de la guerre rangent l’État juif dans une catégorie à part. Je défie en effet le lecteur ou l’auditeur de bonne foi de trouver une seule fois ce mot défendu qui vient pourtant immédiatement à l’esprit, sous la plume ou dans la bouche d’un journaliste hexagonal pour qualifier les deux terroristes de ce 8 juin, qualifiés plus suavement «d’assaillants».

Il faudra m’expliquer pourquoi lorsque les djihadistes du 13 novembre ont procédé avec le même mode opératoire dans le quartier de la Bastille, le mot naturel a été utilisé naturellement et pourquoi il est banni lorsqu’il s’agit de la mort de civils d’Israël.

 

Il faudra encore beaucoup de fillettes assassinées pour comprendre que l’islamisme radical, le racisme anti occidental, la détestation du chrétien et du juif sont de la même graine de haine des deux côtés de la mer.

 

À la vérité, je connais très bien la réponse. Et nous la connaissons tous au tréfonds de nos esprits. Dans la bataille idéologique qui nous est livrée depuis 50 ans, il est des mots-clés qui ouvrent ou ferment les consciences. Un demi-siècle d’Islamo-gauchisme a décérébré la classe médiatique. En France, jusqu’à l’an dernier, les mots d’«islamisme» ou d’ «Islamo-gauchiste» étaient strictement prohibés.

 

Mais les bombes et les balles des islamistes ont fait sauter les verrous d’une censure d’autant plus implacable qu’il était interdit de la dénoncer.

 

Cette censure existe encore s’agissant d’Israël. Elle signifie en creux, que l’usage du mot terroriste est réservé à l’assassinat de civils totalement innocents par des hommes totalement coupables.

 

Cette exigence conceptuelle était déjà difficile à faire accepter, s’agissant de la France, tant la perception de l’Autre, fut-il impitoyablement violent et sanguinaire, était pervertie par une mauvaise conscience xénophile et pathologique, qu’on préféra longtemps le nommer «fou solitaire» ou encore «déséquilibré».

 

S’agissant d’Israël, le verrou n’est pas prêt de sauter. Le récitatif palestiniste, a été d’autant plus docilement accepté par l’idéologie dominante qu’il s’emboitait parfaitement dans sa xénophilie maladive. Ce récitatif, dépourvu de tout esprit critique, à commencer par l’acceptation docile et mortifère de la violence terroriste a creusé son sillon dans les cerveaux travaillés. Il a transformé un conflit national et territorial assez banal en nouvelle question juive. Il faudra encore beaucoup de fillettes assassinées pour comprendre que l’islamisme radical, le racisme anti occidental, la détestation du chrétien et du juif sont de la même graine de haine des deux côtés de la mer.

 

CENT ANS APRES SYKES-PICOT

David Bensoussan

Huffington Post, 12 juin, 2016

 

Il y a cent ans, les diplomates français François Georges-Picot et anglais Sir Mark Sykes s’entendirent pour redessiner la carte du Moyen-Orient, en prévision de la désintégration prochaine de l’Empire ottoman. Au début des négociations, Sir Sykes traça une ligne entre la pointe de la lettre E du mot Acre sur la carte qui était devant lui à la pointe de la lettre K de la ville de Kirkuk. C’est ainsi qu’il envisageait le tracé de la frontière qui devrait délimiter deux nouveaux pays: la Syrie et l’Irak. Cet accord connu sous le nom d’accord Sykes-Picot découpa le Moyen-Orient en zones d’influence française (Syrie et Liban) et anglaise. Cette dernière comprenait également la Palestine mandataire qui englobait Israël et la Jordanie actuels.

 

Parallèlement, deux pipelines furent construits reliant la zone pétrolière de Kirkuk à la Méditerranée, chacun d’eux aboutissant vers un port: le premier contrôlé par la France et le second par l’Angleterre. L’esprit derrière cette entente montre combien les frontières des nouveaux pays créés étaient artificielles, car ils ne prenaient pas en considération la répartition et le passé historique des ethnies, des langues, des religions ou des nationalités. D’autres arrangements frontaliers furent définis lors de la Conférence de Paix de Paris en 1919, du Traité de Sèvres en 1920, de la conférence de San Remo en 1920 puis du traité de Lausanne en 1923. Le Moyen-Orient souffre encore aujourd’hui de ce découpage qui lui a été imposé.

 

Qui plus est, des manipulations de la «perfide Albion» ont compliqué la situation. On promit au chérif de La Mecque Hussein ben Ali qu’il régnerait sur les Arabes s’il se joignait à la lutte anti ottomane. Une fois les Ottomans évincés de la péninsule arabique et de Syrie, l’Émir Hussein qui s’était déclaré roi des pays arabes fut écarté de Damas qui passa sous contrôle français en 1923. On créa deux royaumes pour ses enfants Fayçal et Abdallah: l’Irak et la Jordanie. Sitôt que l’on prit conscience de l’ampleur des richesses pétrolières, on oublia la promesse d’un pays du Kurdistan – prévue au traité de Sèvres – pour l’annexer à l’Irak au Sud et à la Turquie au Nord. En 1917, la déclaration Balfour visant à la création d’un foyer juif en Palestine visa à en rallier les populations juives à la lutte contre les Ottomans (1). La gouverne de l’Arabie passa à la famille Saoud en 1926 et sa dynastie règne encore de nos jours.

 

En 1906, la France et l’Angleterre s’étaient accordées pour ce que le Maroc et l’Égypte passent dans leur zone d’influence respective. L’Égypte accéda à l’indépendance en 1922 et mit fin à la monarchie en 1952. L’Égypte républicaine se voulut le leader du monde arabe, mais le panarabisme nassérien échoua. L’Irak mit fin à la monarchie en 1958 et le régime baasiste qui la remplaça fut bien plus autoritaire, culminant avec la mégalomanie de Saddam Hussein. La Libye mit fin à la monarchie en 1969, remplacée par le pouvoir absolu de l’extravagant Kadhafi.

 

L’accession à l’indépendance des pays arabes les divisa en monarchies traditionnelles ou en républiques. Ces deux courants s’affrontèrent d’autant plus que la plupart des monarchies étaient riches en pétrole. Les républiques vivent actuellement dans un état d’anarchie: la Syrie, l’Irak, le Yémen et la Libye s’engouffrent dans la guerre civile qu’ont par ailleurs connue le Liban et l’Algérie. La Tunisie connaît un équilibre fragile. L’Égypte a passé la crise traumatisante qu’a été la parenthèse des Frères musulmans pour revenir au régime autoritaire; son économie survit grâce aux subventions saoudiennes. Quant aux monarchies, elles ont grandement bénéficié de la manne pétrolière, mais ont créé peu d’emplois. Des subsides à volonté ont permis de calmer les insatisfaits. Seuls la Jordanie et le Maroc ont été assez clairvoyants en faisant de la place pour l’opposition au sein du gouvernement et ont réussi à traverser les secousses du printemps arabe sans encombre majeur.

 

Les luttes internes ont déchiré le monde arabe. Les masses se sont fait manipuler par des démagogues qui se sont appuyés sur la propagande anti israélienne pour consolider leur pouvoir. Le printemps arabe a finalement exposé au grand jour les carences socio-économiques intrinsèques des régimes arabes et mis leurs leaders devant leurs responsabilités. Toutefois, la Turquie et l’Iran qui ont des ambitions hégémoniques reprennent à leur compte la carte anti israélienne pour subjuguer et manipuler les masses arabes, repoussant ainsi les échéances de la paix. C’est seulement lorsque le Moyen-Orient se libèrera de l’intoxication et de l’emprise de la haine qu’il pourra évoluer vers la paix. Il faut qu’il change de paradigme afin de s’atteler à des collaborations constructives.

 

 

ISRAËL: UNE RARE RÉSERVE SECRÈTE DE

PIÈCES D’ARGENT DÉCOUVERTE À MODIIN

Nathalie Boehler

6 juin, 2016

 

Une rare réserve secrète de pièces d’argent datant de la période des Hasmonéens a été découvert dans la ville israélienne de Modiin entre des pierres le long du mur d’un domaine agricole au cours d’une fouille archéologique, a déclaré lundi l’Autorité des Antiquités d’Israël (IAA).

 

Les Hasmonéens sont une dynastie parvenue au pouvoir en Judée au cours de la révolte des Maccabées que Mattathias, un prêtre de la lignée sacerdotale de Yehoyarib, a initié en 168-167 av. J.-C.

 

“Ceci est un lieu de dissimulation rare pour des pièces d’argent de la période des Hasmonéens où ont été retrouvés des shekels et demi-shekels (tetradrachms and didrachms) qui ont été frappés dans la ville de Tyr et à l’images du roi, Antiochus VII et son frère Démétrius II”, a déclaré Avraham Tendler, le directeur de l’excavation.

 

“La cachette que nous avons trouvée apporte des preuves convaincantes selon lesquelles un des membres de la propriété, qui avait économisé son argent pendant des mois, a du quitter sa maison pour une raison inconnue”, a-t-il expliqué.

Tendler a ajouté que cette personne avait probablement enterré son argent dans l’espoir de revenir et de le retrouver, mais a apparemment été peu chanceux et n’est jamais revenu.

 

Le Dr. Donald Tzvi Ariel, le chef du Département des pièces de monnaie à l’Autorité des Antiquités d’Israël, a déclaré que le trésor se compose de 16 pièces de monnaie et contient une ou deux pièces correspondant à chacune des années entre 135 et 126 avant JC, ce qui représente une collection de neuf années consécutives.

 

“Il semblerait que cela ait été pensé et il est possible que la personne qui a enterré les pièces était un collectionneur lui-même”, a déclaré Ariel. “Il a agi exactement de la même manière qu’un collectionneur de timbres ou de pièces gérerait aujourd’hui sa collection”, a-t-il expliqué. 

 

Un certain nombre de pièces de bronze portant les noms des rois Asmonéens tels que Jonathan, Juda, Jonathan ou Mattathias a également été découvert dans l’excavation

 

 

 

Shabbat Shalom!

 

 

 

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