« Je le répète, il n’est pas nécessaire d’être Juif pour être sioniste »
Président Joe Biden, 13 juillet 2022
Biden : « Il n’est pas nécessaire d’être Juif pour être sioniste »
Visite sentimentale à Jérusalem, prometteuse à Bethléem et économique en Arabie saoudite
Freddy Eytan
JCPA-Lecape.org
LES HABITS NEUFS DU PRÉSIDENT BIDEN
Francis MORITZ
Benillouche.blogspot.com , jeudi 21 juillet 2022
Aperçu de l’actualité
Biden : « Il n’est pas nécessaire d’être Juif pour être sioniste »
Le président américain Joe Biden a salué les liens entre les États-Unis et Israël dans son premier discours à son arrivée à l’aéroport Ben Gurion.
« C’est un honneur de me tenir une fois de plus aux côtés de mes amis et de visiter l’État juif indépendant d’Israël », a commencé Biden.
Il a rappelé qu’il s’est rendu pour la première fois en Israël en tant que jeune sénateur en 1973, peu avant la guerre du Kippour, avant tout autre président américain.
Il a ensuite répété son anecdote favorite sur Israël, à savoir qu’il a rencontré tous les Premiers ministres depuis Golda Meir. Lors de cette première rencontre, il a également rencontré Yitzhak Rabin, alors général de Tsahal, ce qu’il a qualifié de « privilège ».
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Visite sentimentale à Jérusalem, prometteuse à Bethléem et économique en Arabie saoudite
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La visite du Président Biden en Israël ouvre une nouvelle page fructueuse dans les rapports stratégiques entre Washington et Jérusalem. Elle est à l’apogée d’une longue et étroite relation amicale entre les deux pays malgré les divergences sur les dossiers brûlants et en dépit des incertitudes sur la marche à suivre.
Nul doute que Joe Biden est un ami fidèle et de longue date du peuple juif et d’Israël. Les images transmises en direct et en permanence sur toutes les chaines de télévision illustrent une amitié profonde et sentimentale. Il est sans doute l’un des derniers leaders étrangers de la planète qui se considère sioniste.
Tout à fait naturel donc de le recevoir avec tous les honneurs et en grande pompe. Cependant, mis à part les directives protocolaires, le tapis rouge, et les paroles d’amitié, il est clair que des sujets graves ont été contournés comme la menace iranienne ou le problème palestinien.
Comment un président américain peut-il engager un gouvernement intérimaire à un processus de paix ? Certes, Biden comme Macron souhaite clairement que Yair Lapid soit toujours Premier ministre après les élections à la Knesset, mais les deux leaders n’ont pas le choix d’attendre patiemment les résultats, rien ne sert de brouiller les cartes démocratiques.
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LES HABITS NEUFS DU PRÉSIDENT BIDEN
Francis MORITZ
Benillouche.blogspot.com , jeudi 21 juillet 2022
L’ex-vice-président d’Obama, candidat à l’élection présidentielle avait condamné sans appel l’Arabie saoudite et son dirigeant de fait, le prince héritier Mohamed Ben Salman, parias, qu’il punirait comme ils le méritent. Élu, il avait pris diverses mesures très restrictives, provoquant de très fortes tensions entre les deux pays. On était au bord du gouffre diplomatique, proche de la rupture. C’était avant les nouveaux paradigmes créés par l’invasion russe du 24 février. Tel un Fregoli de la politique, sous forte pression du complexe militaro industriel, le président et son entourage ont fait un virage à 180 degrés. Le paria d’hier est subitement devenu un partenaire, un allié précieux à la tête d’un puissant état pétrolier dont on ne peut se passer.
Le Secrétaire d’État Antony Blinken de l’ancienne équipe Obama, assez réservé vis-à-vis d’Israël, faisait une découverte : «l’art de gouverner implique souvent de faire des choix difficiles» déclarait-il. Le président de son côté, affirmait : «je ne vais pas changer mon point de vue sur les Droits de l’homme, mais en tant que président des États-Unis, mon travail consiste à apporter la paix si je peux. Et c’est ce que je veux essayer de faire».
Un des critiques des plus catégoriques du royaume enfonçait le clou : «un objectif primordial qui est plus important que tout autre chose, c’est de battre Poutine…en tant que superpuissance mondiale, il s’agit d’assurer que les États clients (admirons la litote) qui dépendent de notre sécurité sont à nos côtés et font leur part pour assurer l’échec de Poutine».
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Pour la première fois, des représentants de Tsahal ont participé en tant qu’observateurs à un grand exercice militaire au Maroc. Un exercice conjoint américano-marocain appelé « African Lion » est organisé chaque année au début de l’été.
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Ces mesures “consacrent l’affluent hébraïque en tant que composante de la culture marocaine”Le roi Mohammed VI a entériné mercredi une réorganisation de la communauté juive au Maroc, “composante” de la culture nationale, lors d’un conseil des ministres qu’il a exceptionnellement présidé au Palais royal de Rabat.
« Je le répète, il n’est pas nécessaire d’être Juif pour être sioniste »
Président Joe Biden, 13 juillet 2022