UN PRINCE ARABE DÉNONCE L’ISLAMISME
Daniel Pipes
http://www.europe-israel.org, 18 décembre 2014
Le 5 décembre, dans une allocution remarquable mais jusqu’ici passée inaperçue, Salman bin Hamad Al-Khalifa, le prince héritier du Bahreïn (royaume insulaire du golfe Persique abritant la cinquième flotte de la US Navy), a donné une franche analyse de l’ennemi islamiste et proposé des solutions importantes pour le combattre.
Il a beaucoup à nous apprendre, à nous Occidentaux (en commençant par son malheureux homologue britannique, le prince héritier Charles), si seulement nous voulions écouter. Il est vrai que certains dirigeants occidentaux parlent de confrontation avec l’idéologie islamiste, mais la majorité d’entre eux évite d’utiliser ce terme en recourant aux euphémismes, aux confusions et à la lâcheté. Ce qui est le plus frustrant, ce sont ces dirigeants (comme Tony Blair) au discours fort qui ne sont suivis d’aucun acte.
Le prince Salman, âgé de 45 ans et généralement considéré comme le membre de la famille royale bahreïni le plus ouvert aux réformes, commence par observer l’imprécision de l’expression « guerre au terrorisme ». Le temps est venu, dit-il, « de nous débarrasser » d’un terme qui remonte au 11-Septembre. « Il est quelque peu trompeur et ne représente ni l’intégralité ni la totalité du conflit auquel nous sommes confrontés » mais simplement un « outil » et une tactique.
Dans un anglais parfait, le prince poursuit en replaçant le conflit actuel dans son contexte historique : « Reportons-nous au siècle dernier. À l’époque, nous faisions face à un ennemi bien différent. Nous étions confrontés au communisme et nous y faisions face ensemble. Or quand nous étions confrontés au communisme, nous savions qu’il s’agissait d’une idéologie, ce que le terrorisme n’est pas. »
Il observe également que « nous ne sommes pas seulement en train de combattre des terroristes mais également des théocrates. » Par théocrates, Salman entend des hommes « placés au sommet d’une idéologie religieuse et qui ont le pouvoir, par décret religieux, de priver quelqu’un… de leur au-delà – et d’utiliser [le pouvoir religieux] à des fins politiques. » Ce sont également des tyrans, des isolationnistes et des misogynes qu’il faudra combattre « pendant longtemps. » Il les rejette comme des êtres « beaucoup plus proches du XVIIe siècle » et qui n’ont « pas de place dans notre XXIe siècle moderne ». Il nous prie instamment de « supprimer de notre vocabulaire l’expression « guerre au terrorisme » pour nous concentrer sur la menace réelle que constitue l’essor de ces théocraties néfastes » ; à cette fin, il propose de remplacer l’expression « guerre au terrorisme » par sa propre formulation : « guerre aux théocrates ». Il espère que ce concept permettra de « faire converger les programmes militaires, sociaux et politiques – voire économiques – dans une approche globale destinée à contrer ce phénomène comme nous l’avons fait avec le communisme. » Dans la partie peut-être la plus marquante de son discours, il déclare : « C’est l’idéologie en soi qui doit être combattue. Elle doit être nommée, flétrie, endiguée et finalement vaincue. »
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ISRAËL SIGNE LA CONVENTION INTERNATIONALE SUR LE COMMERCE DES ARMES
Réd.
i24news, 18 décembre 2014
L’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Ron Prosor, a signé jeudi au nom de l’Etat hébreu la Convention internationale sur le commerce des armes (TCA), adoptée par l’Assemblée générale en juin 2013 et censée entrer en vigueur le 24 decembre 2014.
“Israël soutient les principes de la Convention et ses objectifs et a joué un rôle actif dans le processus de négociations par le biais d’une équipe regroupant des représentants du ministère des Affaires étrangères et de la Défense”, a précisé M. Prosor.
“Il est important de souligner que la réglementation en vigueur en Israël sur le commerce d’armes correspond aux normes établies par le Convention internationale”, ajoute la communiqué.
Le ministre israélien de la Défense Moshe Ya’alon s’était opposé en mai dernier à la ratification par Israël du traité de l’ONU “pour des raisons de sécurité nationale”.
Ce traité, qui vise à moraliser le commerce des armes conventionnelles, est le premier en son genre. Il doit être ratifié par 50 Etats au minimum pour être appliqué.
En avril, dix-huit pays ont déposé simultanément leurs instruments de ratification du traité sur le commerce d’armes. Ces pays sont l’Allemagne, la Bulgarie, la Croatie, le Danemark, l’Espagne, l’Estonie, la Finlande, La France, la Hongrie, l’Irlande, l’Italie, la Lettonie, Malte, la Roumanie, le Salvador, la Slovaquie, la Slovénie et le Royaume-Uni. Seuls trois pays ont voté contre le traité lors du vote à l’Assemblée générale de l’ONU : l’Iran, la Corée du Nord et la Syrie.
Les clauses du TCA prévoient entre autres un contrôle sur les exportations d’armes afin d’empêcher qu’elles ne soient utilisées “dans la perpétration d’un génocide, de crimes contre l’humanité, n’entravent les Convention de Genève, n’attaquent des civils ou d’autres crimes définis par des accords internationaux ratifiés par l’Etat concerné”.
LE HAMAS RESSERRE SES LIENS AVEC L’IRAN (RESPONSABLE PALESTINIEN)
Réd.
i24news, 18 décembre 2014
Le Hamas et l’Iran ont renoué leur étroite relation politique et militaire mise à mal par la guerre civile syrienne, a indiqué Moussa Abu Marzouk, le vice-chef du groupe islamiste palestinien à l’agence de presse Reuters mercredi.
S’exprimant depuis son bureau de Gaza, le responsable palestinien a déclaré: “Je crois que les relations bilatérales entre la République islamique d’Iran et nous sont de nouveau sur de bons rails”.
La semaine dernière, une délégation du Hamas s’est rendue en Iran, qui fournit depuis longtemps une importante aide militaire et financière au groupe terroriste.
Le Hamas a exprimé son hostilité à l’égard du président syrien Bachar al-Assad, qui est soutenu par Téhéran depuis le début la guerre syrienne, il y a trois ans.
Moussa Abu Marzouk a également déclaré à Reuters que le Hamas, l’organisation islamiste qui contrôle la bande de Gaza, ne voulait pas d’une nouvelle guerre avec Israël et souhaitait que l’enclave palestinienne se reconstruise après le conflit dévastateur de 50 jours de l’été dernier contre l’Etat hébreu.
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ISRAËL RESTERA DEBOUT FACE AU DJIHAD ET FACE AUX PRO-TERRORISTES, TELLE LA France
Alain Rubin
http://www.israel-flash.com, 2 décembre 2014
Mesdames Messieurs les Sénateurs
En votre qualité de représentants du Peuple français vous êtes appelés à délibérer sur une résolution concernant la reconnaissance d’un « Etat de Palestine ». Ce projet n’émanant pas du gouvernement mais d’un groupe d’élus du parti socialiste*.
Dans cette affaire, deux aspects devraient, nous semble-t-il retenir votre attention :
1° Dans la forme, on a cherché à forcer la main de la présidence de la république, pour certains pour de pures raisons électorales, comme l’a déclaré sans fioritures Benoît Hamon. Tirer sur Israël serait un excellent moyen pour renouer avec cet électorat venu place de la Bastille, le soir de l’élection du président François Hollande, arborant force drapeaux d’autres pays que celui de la France. On se souvient de ce jeune homme tenant le drapeau d’une formation politique soutenant le candidat François Hollande, applaudi quand il répondra, à la question d’une télévision : « je m’appelle Mohamed Mehra ».
L’initiative destinée à faire voter les assemblées représentant le peuple français n’est-elle pas une sorte de coup d’Etat puisque l’on demande aux assemblées de s’approprier des pouvoirs en matière de diplomatie, en passant par-dessus les normes légales constitutionnelles et des usages en découlant ?
Pour dire et faire quoi, ce putsch diplomatique ?
Vote pour dire : que rien n’est trop beau pour la cause commune du Fatah et du Hamas ; cause commune déclarée « cause du peuple palestinien », cause d’un peuple que mensongèrement l’on prétend victime d’un « racisme », un racisme institutionnel et quotidien n’existant que dans les articles et les reportages biaisés ou fabriqués. Cette cause vaudrait de bousculer les normes légales, pour forcer la main à la présidence… et faire s’inscrire la France dans « l’Histoire ».
La France, nous dit-on en effet, s’inscrirait ainsi dans l’Histoire, en reconnaissant « l’Etat de Palestine », un Etat sans passé national et sans frontières définies produits par la formation d’une nation palestinienne.
Cet Etat devrait avoir Jérusalem pour capitale, exige-t-on
Pourquoi ? Parce que ce serait un lieu saint de l’islam…
Et quel « lieu saint de l’islam », en effet. En 1806, ce lieu saint ne possédait plus qu’une dizaine de rues et quelques venelles. La conquête ottomane, succédant à la conquête arabe, était assise sur un tas de ruines noircies (remontant à la destruction de la ville par les romains puis par les protagonistes des croisades et contre croisades) et de ronces. Aucune cérémonie, aucun pèlerinage musulman ne s’y déroulait, depuis que les Omeyyades avaient disparu de la scène de l’Histoire. C’est en effet les Omeyyades qui, ayant perdu le contrôle de la Mecque s’étaient créé à Jérusalem un autre lieu « saint », à seule fin de contrecarrer ses rivaux en islam gouvernemental.
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NETANYAHOU: « LES EUROPÉENS N’ONT RIEN APPRIS DE LA SHOAH »
Réd.
http://www.europe-israel.org, 17 décembre 2014
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déclaré mercredi que les Européens semblaient n’avoir rien appris de la Shoah (Holocauste des Juifs perpétrés par les nazis et leurs collaborateurs pendant la Seconde guerre mondiale), après une décision du tribunal de l’Union européenne de retirer le Hamas palestinien de la liste des « organisations terroristes » de l’UE.
« Au Luxembourg, le tribunal de l’UE a retiré le Hamas de la liste d’organisations terroristes », a dit M. Netanyahou cité par son bureau. « Il semble que beaucoup trop (de gens) en Europe, où six millions de Juifs ont été massacrés, n’ont rien appris ».
Cette action a été immédiatement dénoncée par le Premier ministre israélien qui a exigé de l’Union européenne qu’elle réinscrive « immédiatement » le Hamas sur la liste.
Selon la chaine 10 israélienne, Netanyahou et le ministère des Affaires étrangères Avigdor Lieberman avaient été mis au courant auparavant de la décision européenne.
Par ailleurs, la Commission européenne a réagi à la décision du tribunal européen de retirer le groupe palestinien Hamas de sa liste noire, au terme d’une procédure d’appel entamée par l’organisation gazaouie.
« Nous ne nous satisfaisons pas de l’explication européenne selon laquelle le retrait du Hamas de cette liste des organisations terroristes relève d’une question technique. Nous voulons que les Européens remettent immédiatement le Hamas sur cette liste », a affirmé M. Netanyahou dans un communiqué de son bureau.
De son côté, le ministère israélien des Affaires étrangères a exprimé son mécontentement, lors d’une rencontre entre le directeur du ministère Nissim Ben Shitrit et l’ambassadeur européen en Israël Lars-Faborg Andersen.
La justice européenne a rendu ce verdict en raison d’un vice de procédure dans l’inscription initiale du mouvement palestinien Hamas sur la liste des organisations terroristes, mais a toutefois indiqué maintenir le gel des avoirs du groupe en Europe.
La justice précise dans un communiqué que cette annulation « n’implique aucune appréciation de fond sur la question de la qualification du mouvement Hamas de groupe terroriste ».
« Le Tribunal constate que les actes attaqués sont fondés non pas sur des faits examinés (…) mais sur des imputations factuelles tirées de la presse et d’internet », indique le document, qui précise que l’inscription d’un groupe dans la liste des organisations terroristes nécessite juridiquement « des éléments concrets examinés et retenus dans des décisions d’autorités nationales compétentes ».
Le Conseil a trois mois pour prendre une nouvelle décision de gel des fonds, ou deux mois pour se pourvoir en appel auprès de la Cour de justice de l’UE contre cette décision, ajoute le Tribunal dans un communiqué.
L’UE avait inscrit le Hamas sur sa liste noire en décembre 2001.
Le Parlement européen a indiqué appuyer « en principe la reconnaissance de l’Etat palestinien » mercredi à l’issue d’un vote juste après que la Commission a annoncé que l’Union européenne « considère toujours le Hamas comme une organisation terroriste ».
Le Parlement a également affirmé mercredi son soutien à un Etat palestinien « et la solution fondée sur deux États », mais cela « devrait aller de pair avec le processus de paix, qui devrait être remis en marche », selon la résolution adoptée par 498 voix contre 88.
OBAMA, AMI DU RACISME ET DU TERRORISME
Guy Millière
http://www.dreuz.info, 13 décembre 2014
Les dégâts résultant se chiffrent en millions de dollars. Des centaines de commerçants ont tout perdu. Des milliers d’employés supplémentaires sont au chômage et viendront grossir les rangs de ceux qui se nourrissent de food stamps, ces bons de nourriture distribués par le gouvernement. La distribution des rôles fonctionnant fort bien, Eric Holder a engagé des procédures au nom des « droits civiques » aux fins de mener une enquête fédérale sur la mort de Michael Brown, comme il l’avait fait dans le dossier Trayvon Martin en Floride. Les tensions raciales n’ont pas été aussi fortes aux Etats-Unis depuis longtemps. Et le premier Président noir n’y est pas pour rien : il vient de déclarer en supplément que les Etats-Unis avaient encore un long chemin à faire pour sortir du racisme. Il aurait pu ajouter, tant qu’à faire, que ce n’est pas demain la veille du jour où les Etats Unis auront un Président noir. Il n’a pas osé aller jusque là, mais il a dû avoir la tentation.
Des policiers à New York ont arrêté de façon brutale un vendeur de cigarettes au détail et ce vendeur de cigarettes est mort dans l’ambulance qui le conduisait à l’hôpital. La justice a estimé que les policiers n’étaient pas coupables. Cela a, bien sûr, contribué à accroître encore les tensions et la diabolisation de la police et de la justice. Sans véritable fondement. Tout comme Michael Brown est présenté de tous côtés comme un brave garçon noir tué par un policier blanc, et pas comme un petit criminel, le vendeur de cigarette, Eric Garner, est lui-même présenté comme un brave homme noir, pas comme un délinquant, et le fait qu’il soit décédé d’un arrêt cardiaque dans une ambulance, et pas aux mains de la police, est laissé de côté.
Si Obama se contentait d’attiser les tensions raciales et de contribuer à diaboliser la police et la justice de son pays, ce serait déjà très grave, mais il fait davantage, et il fait pire.
Il continue à vider peu à peu le camp de Guantanamo, et il vient de relâcher six islamistes très dangereux pour les envoyer, avec le titre de réfugiés politiques en Uruguay, pays dirigé par un gauchiste résolument anti-américain, Jose Mujica, ancien terroriste du groupe Tupamaros. Les islamistes relâchés ont, c’est vérifiable et vérifié, travaillé de près avec les membres fondateurs de l’Etat Islamique. Plusieurs anciens détenus de Guantanamo sont, dans le passé proche, retourné vers le combat djihadiste. Il ne serait pas du tout surprenait que ceux-là suivent le même chemin. Obama a une façon très étrange de combattre le djihadisme, et s’il voulait conforter celui-ci, il ne s’y prendrait pas autrement.
Pour finir (provisoirement, hélas), Obama a clairement donné son feu vert à la publication du rapport sénatorial sur les actes de « torture » censés avoir été commis par des agents de la CIA au temps de la présidence de George W. Bush, dans les années qui ont suivi le onze septembre 2001. Ce rapport dit que les « tortures » ont été inefficaces, ont conduit à des renseignements inexploitables, ont été menées arbitrairement et ont été bien plus « brutales » que ceux qui ont rédigé le rapport ne l’imaginaient.
Chacune de ces affirmations est fausse : il ne s’agit pas de « tortures » ( le waterboarding, essentiellement incriminé, est vraiment très différent de ce qui se pratique quotidiennement chez les talibans, Bachar al Assad ou Abou Bakr al Bagdadi), l’efficacité a été avérée dans des dossiers cruciaux (l’élimination d’Oussama Ben Laden, entre autres), les renseignements se sont révélés fiables dans la plupart des cas, les pratiques incriminées l’ont été avec l’accord du Ministère de la Justice et du Ministère de la Défense, et les brutalités, outre la sensation de noyade, ont été des privations de sommeil, par exemple.
Le rapport a été rédigé sans que les agents de la CIA concernés ou leurs supérieurs aient été consultés, comme un rapport uniquement à charge, ce qui est sans précédents, et les personnes incriminées n’ont pu accéder au dossier qu’à la condition de signer une clause de confidentialité, exigée par la Commission sénatoriale, qui leur interdit d’évoquer publiquement ce dont il est question dans le dossier. Ce rapport est un outil de propagande au service de la haine anti-américaine, un instrument de démoralisation des services de renseignement américains, et, puisque des pays étrangers alliés des Etats-Unis, dont la Pologne, sont impliqués, une arme pointée contre la coopération militaire et sécuritaire entre les Etats Unis et leurs alliés. Les ambassades américaines du monde entier ont été mises en état d’alerte en raison des risques pouvant découler de la publication du rapport. On ne peut que ressentir du dégoût devant l’hypocrisie d’un Président qui dit craindre un incendie après avoir tout fait pour l’allumer.
Obama et son administration semblent pratiquer une politique de la terre brûlée, sans que rien ne les arrête pour le moment. C’est consternant. C’est inquiétant. Cela me révolte. Cela me rend infiniment triste, car je sais ce que le monde doit aux Etats Unis depuis deux siècles. Je sais la valeur inestimable de ce qu’Obama est en train de saccager.
LE CANADA RÉCLAME DE L’UE LA RÉINSCRIPTION DU HAMAS SUR LA LISTE DES ORGANISATIONS TERRORISTES !
Cyril Berthier
JSSNews, 18 décembre 2014
Le Canada vient d’exhorter l’Union européenne à réinscrire le groupe terroriste Hamas sur sa liste noire…
« Nous sommes vivement préoccupés par la décision du Tribunal de l’Union européenne d’annuler, pour des motifs liés à la procédure, les mesures contre le Hamas », a déclaré le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird. « Nous exhortons l’Union européenne à prendre immédiatement les mesures nécessaires pour réinscrire le Hamas sur la liste des entités terroristes », a ajouté le chef de la diplomatie du Canada, l’un des plus fidèles alliés d’Israël dans le monde.
La décision européenne a provoqué la colère d’Israël mais l’UE a précisé qu’elle n’écartait pas de faire appel de la décision du tribunal.
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Un accord sur le nucléaire iranien est proche (Poutine) : Réd., i24news, 4 décembre 2014.
Shabbat Shalom à tous nos lecteurs!